“ Elles aussi, elles déchirent ! ”

Bérénice Schleret
Bérénice Schleret

It’s only rock and roll, but i like it…

 

L’amie par qui le succès arrive…

Bérénice Schleret
Bérénice Schleret

A l’âge de six ans, j’ai débuté les cours de guitare, puis j’ai monté un groupe avec lequel nous avons tourné dans les bars de Brest pendant deux ans. Ayant laissé tomber la musique pour intégrer l’IUT de Caen, une amie m’a inscrite au casting d’X Factor où je suis allée sans trop d’illusion. A ma grande surprise, j’ai franchi les étapes avec succès et je suis parvenue au Prime.

 

Son monde musical
Inspirée par les années 60/70 avec des monuments comme Jimmy Hendricks, Janis Joplin, les Who, les Rolling Stones, ACDC et bien d’autres, je suis également une grande passionnée de la chanson française classique (Edith Piaf, Jacques Brel, Charles Aznavour, Barbara), raison pour laquelle je chante dans les deux langues.

 

« La pression était difficile à gérer mais positive car c’est le genre de stress qui vous pousse à vous dépasser et à donner le meilleur. »

A l’occasion de ma première audition, lorsque j’ai chanté « Highway too hell » d’ACDC, je n’étais pas stressée ; mais pour les autres émissions, j’ai ressenti une pression énorme car j’avais réalisé les enjeux et toutes les possibilités offertes si je réussissais.

 

« La médiatisation que j’ai connue à ce moment-là est celle dont j’avais toujours rêvé. »

Pendant l’émission, les candidats sont un peu comme dans une bulle. Une fois sortie, je me suis rendue compte du nombre de personnes qui m’avaient soutenue et j’ai été grisée par les nombreuses demandes d’interviews et de séances photos.

 

« Je suis encore sous contrat avec X Factor. »

Quand l’émission sera terminée, Olivier Schultheis me présentera vraisemblablement des personnes susceptibles de m’écrire des chansons et j’espère vivement faire la bonne rencontre.

 

Après l’IUT
Je poursuivrai en licence professionnelle ou en grande école parce qu’il est primordial de réussir ses études pour s’épanouir dans un métier. Si, entre-temps, un projet musical voit le jour, je m’y consacrerai entièrement car cela reste mon objectif premier.

 

Patrick Simon

 

 

 

Dans le top 5 du Snowboard mondial

 

Mon cursus scolaire est adapté à la pratique intensive du sport.

 

Mirabelle Thovex
Mirabelle Thovex

Ma préparation au DUT de technique de commercialisation se déroule en trois ans. Les cours sont regroupés du début avril jusqu’à mi-juillet ce qui nous laisse toute la période d’août à mars pour nous consacrer uniquement au sport. Pendant les périodes de cours, nous continuons la préparation physique en fonction de notre emploi du temps scolaire.

 

« Le Half Pipe est un sport dangereux. »

Avec de l’entraînement et de bonnes bases, les risques sont moindres car on apprend à connaître ses propres limites. Cependant, je me suis cassé deux fois la clavicule ainsi que les ligaments croisés intérieurs.

 

L’ambition de ses 20 ans !
Je suis classée 4ème au niveau mondial. Plusieurs fois championne de France, 2ème au championnat du monde à Bardonecchia (ITA) et vingtième aux derniers Jeux Olympiques, je souhaite participer et faire un podium aux prochains Jeux Olympiques d’hiver qui se dérouleront en Russie en 2014. Je me donne encore la possibilité de participer à deux ou trois olympiades car je pense avoir encore 50 % de marge de progression.

 

L’avenir scolaire et professionnel
Après l’obtention du DUT, je désire poursuivre mes études en licence pro ou en grande école tout en pratiquant le sport de haut niveau. Ensuite, j’aimerais travailler dans mon domaine, le monde de la neige et de la glisse, par exemple dans la société Quicksilver/Roxy qui me sponsorise depuis 10 ans.

 

En savoir plus en quelques phrases…
– « Il y a une forte camaraderie dans ce milieu. Dans l’IUT, nous sommes mélangés à des étudiants «classiques » avec lesquels nous nouons quelques relations mais la tendance est quand même de rester entre nous. »
– « En dehors des compétitions, nous faisons parfois des démonstrations gratuites pour promouvoir le sport. »
– « Nous voyageons 5 à 6 mois/an à l’international pour nous entraîner dans des lieux tels que la Nouvelle-Zélande, l’Amérique du nord, l’Europe, le Japon et bientôt en Russie. »
– « Au niveau de la préparation physique, nous travaillons surtout les abdos-dorsaux et la proprioception (équilibre). »
– « Dans le snowboard, tout me plaît sauf parfois le fait d’être souvent éloigné de mes proches. »
– « Je suis un peu superstitieuse, je dois porter le bon vêtement ou certains bracelets, sinon j’avoue que je suis un peu perturbée. »

 

Patrick Simon

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