Avec son plan SKY25, SKEMA BS veut affirmer son statut d'innovateur et de précurseur sur la scène internationale

10 ans et un plan stratégique pour 2020 – 2025 : quoi de neuf à SKEMA Business School ?

Trois mois après avoir fêté ses 10 ans, SKEMA Business School annonce son plan stratégique pour 2020 – 2025. Nom de code : SKY25. Le 23 janvier 2019, sa DG Alice Guilhon a décrypté la feuille de route de « cette école globale en passe de devenir une institution glocalisée porteuse d’un modèle résolument innovant ». Le point sur les grandes lignes directrices.

 

« C’est toujours un moment important dans la vie d’une institution que d’annoncer un plan stratégique. Un moment important, mais surtout le bon moment, celui de se poser des questions en lien avec les grandes évolutions du monde de l’enseignement : l’internationalisation, la remise en cause des contenus des programmes en lien avec les grands sujets de société, la digitalisation et l’environnement » introduit Alice Guilhon.

Dès lors, l’école s’est fixée trois priorités : devenir l’école de l’avant-garde, agir en acteur engagé et se positionner comme institution glocalisée. Ses nouveaux outils pour y parvenir :

Le SKEMA Way of Learning

SKWol pour les intimes. « Un modèle pédagogique développé par SKEMA BS misant sur l’individualisation des parcours ». Une plateforme de coconstruction offrant une « expérience étudiant augmentée grâce à une interconnexion des campus et le développement de communautés d’apprentissage.  Une avancée considérable pour ceux qui veulent travailler dans un environnement multinational avec des outils liés à l’IA ».

Trois nouvelles écoles

Pour devenir une institution « comprehensive », SKEMA BS veut pousser les murs des disciplines de gestion en créant trois écoles spécialisées : SKEMA IA School for Business aux USA (pour l’intelligence augmentée), SKEMA Law School for Business au Brésil (pour le droit) et SKEMA Design School for Business en France (pour le design et la créativité).  « Des écoles qui vont irriguer et transformer les contenus des programmes sur tous nos sites  ».

« SKEMA BS : une école globale aux racines françaises ! » – Alice Guilhon, DG de SKEMA BS

Une hybridation à 100 % des programmes

« Les talents du 21e siècle ne devront pas additionner mais mixer plusieurs disciplines et compétences pour être à la fois opérationnels et engagés dans la société », insiste Alice Guilhon. Ou comment « équiper les étudiants en IA pour leur permettre de relever les défis de demain. Des talents à l’avant-garde mais surtout en avance sur leur temps ! »

>>> Découvrez l’interview Initiales d’Alice Guilhon

L’Institut Fintech et l’Institut Ethique et RSE

« Nous souhaitons valoriser la recherche pour créer de la valeur et déployer une politique de recherche ambitieuse afin de répondre aux enjeux scientifiques et sociétaux. Ces deux instituts ont vocation à structurer les relations sciences et société », précise la DG. D’autres instituts sont déjà annoncés : un centrée sur l’entrepreneuriat (avec la création d’un « indice de confiance des entrepreneurs ») et un autre, autour des stratégies internationales.

Un think tank dédié aux questions de stratégie et d’influence

Son rayon d’action ? Tous les pays d’implantation de SKEMA BS. Son objectif ?  Produire de l’information et prendre part au débat public sur de grandes problématiques de société (éducation, démocratie, équilibres financiers et sociaux…). Un dispositif allant de pair avec SKEMA Social Ventures qui incube et finance des projets étudiants au fort impact social.

De nouveaux campus

« Créée il y a 10 ans pour devenir une école globale, SKEMA BS ouvre son 7e campus en Afrique du Sud en janvier 2020. Nous voulons aller plus loin et couvrir le monde ! D’ici 5 ans, nos implantations s’étendront en Inde et en Australie, puis en Russie et Europe d’ici 10 ans » #StayTuned.

Une nouvelle organisation

« Avec ce plan stratégique, nous sortons de notre cadre de référence de business school : nous devons donc transformer l’institution. Une transformation au plan des compétences mais aussi des outils. Nous investissons par exemple dans un grand ERP, celui d’Air France, car aucun outil du marché de l’éducation n’était capable de s’adapter à notre modèle et de connecter tous nos pays d’implantation en même temps ». Une transformation qui impliquera forcément un changement de statut ? « Nous y réfléchissons. Mais avec toujours deux impératifs en tête : rester non for profit et toujours plus décidés à conserver un statut où notre mission fondamentale est d’être au service des étudiants », conclut Alice Guilhon.