AbbVie France : un parcours de santé sous le signe de l’innovation – L’interview d’Aurélie Andrieux-Bonneau

L'interview d'Aurélie Andrieux-Bonneau Directrice des affaires publiques et de la communication d'AbbVie France
- Les collaborateurs font chaque année une semaine de bénévolat, ici au service d’un centre social du Val de Marne © AbbVie

« Venez découvrir la mission thérapeutique qui nous rassemble ! » lance aux jeunes diplômés Aurélie Andrieux-Bonneau (Sciences Po Rennes 06), Directrice des affaires publiques et de la communication d’AbbVie France. Laissez-vous gagner par l’émulation qui anime cette entreprise biopharmaceutique américaine en pleine croissance.

 

La pharma, ça vous gagne !

L'interview d'Aurélie Andrieux-Bonneau Directrice des affaires publiques et de la communication d'AbbVie France
© AbbVie

Vous avez des préjugés sur l’industrie pharmaceutique ? Il est temps de les balayer ! C’est le message d’Aurélie Andrieux-Bonneau, Directrice des affaires publiques et de la communication d’AbbVie France, en charge des relations avec les décideurs publics, les associations de patients et les médias. « Notre raison d’être est de donner accès aux patients le plus rapidement possible aux innovations thérapeutiques. Il n’y a pas de mission plus belle, plus noble ! ». Une fierté légitime puisqu’en seulement huit ans d’existence, l’entreprise américaine est devenue le quatrième groupe pharmaceutique mondial. Aujourd’hui, AbbVie lance un nouveau traitement ou une nouvelle formule tous les 4 mois.

 

Le pari de la R&D

Une success story pour ce groupe spécialisé dans quatre aires thérapeutiques : l’immunologie, la virologie, l’oncologie et les neurosciences. Ainsi que l’ophtalmologie et la médecine esthétique, depuis le rachat du groupe Allergan au mois de mai dernier. « Avec cette acquisition, nous avons franchi une nouvelle étape, et gagné une assise financière qui nous garantit de poursuivre nos investissements en R&D pour le développement des médicaments de demain. »

 

Culture d’entreprise

Une réussite qui est aussi française. Dans l’Hexagone, Abbvie France compte 700 collaborateurs et Allergan 550. Parmi eux, des équipes dédiées au développement clinique, à la réglementation pharmaceutique et aux affaires médicales (ils sont médecins, pharmaciens, biologistes). Mais aussi des profils issus de la finance, du droit, de la communication, de l’accès au marché, et du marketing. « La plupart de nos collaborateurs ont des formations généralistes avec une spécification dans le monde de la santé. Tous mesurent leur chance de travailler sur les médicaments du futur. Notre valeur ajoutée ? Le développement dynamique d’essais cliniques avec la communauté scientifique française, dont l’excellence rayonne dans le monde entier. La clé de notre succès ? Notre culture d’entreprise « All for One », inclusive et favorable à l’intelligence collective. »

 

Le monde s’ouvre à vous

Plusieurs bonnes raisons pour rejoindre la grande famille d’AbbVie. « Nous accueillons plus de 40 stagiaires et alternants chaque année, mais aussi de jeunes diplômés. Au sein de la filiale française, mais aussi au siège Europe de l’Ouest et au siège Europe de l’Est-Moyen Orient, également situés en France. Ce qui nous intéresse chez les jeunes diplômés, c’est leur agilité cognitive et leur capacité à passer d’un sujet à un autre. Que ce soit dans les filières du marketing, des affaires publiques, du market access, ou du juridique, nous abordons les compétences et les métiers de manière ouverte. Chez nous, il n’y a pas de cloisons. L’essentiel est d’avoir le sens de l’engagement au service des patients, notre boussole. On ne travaille pas dans la pharma par hasard ! »

 

Collabor-acteurs à part entière

Vous êtes motivés et en quête de sens, AbbVie est fait pour vous ! « Qui que vous soyez dans l’entreprise, vous pouvez avoir une idée, la proposer et nous vous donnons les moyens de la mettre en place. À mon arrivée, j’ai réellement découvert ce que la diversité et l’inclusion signifiaient. Ainsi par exemple, pour élaborer le plan stratégique d’entreprise, nous n’avons pas fait du top down, mais organisé un hackathon en novembre dernier pour récolter des idées. En moins d’une heure, les inscriptions étaient remplies. Près de 120 collaborateurs ont bûché pendant trois jours et ont créé une émulation positive. Aujourd’hui, nous finalisons cette feuille de route. Une gageure car tout a été fait en digital. »

 

Aux petits soins

Et cerise sur le gâteau : il fait bon vivre chez AbbVie. « Depuis sa création l’entreprise est classée « Great place to work ». Parmi nos atouts : le Programme Vitality qui encourage le collaborateur à prendre soin de lui via la semaine du bien-être, le mois du Sport, le « Superfood Challenge ». Iconique, notre « Week of Possibilities »  permet aux collaborateurs de faire du bénévolat dans des associations humanitaires et d’insertion sociale en région parisienneLa cohésion et la solidarité s’expriment pleinement ! »

 

La Covid en ligne de mire

« Dès le début de la pandémie, AbbVie s’est engagée dans la lutte contre la Covid-19. Nous avons mis un de nos traitements à la disposition des essais cliniques Discovery en France et Solidarity à l’international notamment, en tant qu’expert en virologie et nous en avons de nombreux en cours pour continuer à chercher un traitement. Ce virus a aussi bouleversé nos modes de fonctionnement car il était de notre devoir de s’assurer que nos médicaments arrivent aux bons patients au bon moment. Le challenge a été relevé sans rupture de stock. »

 

Passion politique

« Je suis sortie de Sciences Po avec des convictions politiques fortes et j’ai candidaté de manière spontanée auprès de dizaines de parlementaires de l’UMP pour devenir assistante parlementaire. À 24 ans, je suis donc entrée à l’Assemblée Nationale et au Sénat tout en suivant un Master 2 en sciences politiques à l’Université Paris 1. Au service notamment de Pierre-Louis Fagniez qui avait une activité législative intense, j’ai rencontré différentes personnalités, et eu l’occasion de m’engager dans la campagne de Nicolas Sarkozy… Après sa victoire, je suis entrée au cabinet de Valérie Pécresse, alors ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement de François Fillon. Je garde le souvenir des nuits blanches passées à travailler sur la réforme de l’autonomie des universités. Ce fut une très belle période d’engagement. Je continue d’être passionnée par la politique, j’y reviendrai… »

 

#SciencesPoRennes « Un de mes meilleurs souvenirs reste l’émulation et les débats sans fin sur le traité établissant une constitution européenne. Je me souviens aussi du conseil de notre professeur d’histoire le jour de la remise de notre diplôme : « N’oubliez pas de toujours lire beaucoup et surtout autre chose que de la littérature ayant trait à votre futur domaine professionnel ». J’y pense très souvent et j’essaie de suivre ce judicieux conseil pour cultiver l’ouverture d’esprit et la curiosité intellectuelle que l’on nous apprend à Sciences Po ! »

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#Un Job, trois mots : créativité, ténacité, force de conviction

 

 

Contact : jennifer.guillot@abbvie.com

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