Pour maintenir et développer sans cesse le leadership de l’ESSEC, son directeur Vincenzo Esposito Vinzi cultive deux piliers : l’excellence et la singularité.
Pourquoi l’ESSEC est-elle la plus belle ?
- Pour son esprit pionnier, sa capacité à expérimenter, à prendre des risques, à agir sur les marchés avec anticipation et donc à les influencer. Cela vaut pour l’ESSEC en tant qu’institution pionnière de l’apprentissage, des chaires, des cursus à la carte mais aussi pour ce qu’elle transmet à ses élèves. Après le Knowledge Lab, nous innovons en 2018 avec un Finance Lab
- Son ambition de préparer à Doing business with a human touch
- Sa créativité. A l’ESSEC nous n’appliquons pas des recettes toutes faites, nous stimulons la créativité, inspirons nos élèves. Nous les bousculons parfois, car pour laisser une trace il faut être vigoureux et imaginatif
Une traduction de cet esprit pionnier ?
La manière dont nous nous développons à l’international. Notre présence ne se limite pas à des lieux pédagogiques. Nous sommes des partenaires intégrés des économies régionales. Nos campus sont des hubs vers les autres pays de ces régions comme le soulignent leurs noms : ESSEC Asia-Pacific (à Singapour) et ESSEC Afrique (à Rabat). La prochaine étape est de devenir une « école-monde ». Outre-Atlantique, l’ESSEC a noué des partenariats avec des institutions de renom, et les approfondit avec par exemple l’élaboration en cours de programmes co-construits dans la silicon valley.
« Notre mission est de former des leaders engagés et visionnaires »
Doing business with a human touch, pourquoi est-ce si important ?
Le contexte géopolitique, professionnel et sociétal actuel impose une prise en compte fine et accrue de la dimension humaine dans le business. L’enjeu est tout simplement la capacité à travailler avec autrui de manière responsable et éthique, à respecter l’environnement. Notre mission est de former des leaders engagés et visionnaires.
A l’ESSEC, nous allons au-delà de l’excellence, expliquent en chœur Felix Papier directeur du PGE, José Miguel Gaspar, directeur de la recherche et deux étudiants, Inès Mesah et Patrick Glasgow.
Vos piliers pédagogiques de leader ?
- Un savoir d’excellence et de niveau mondial, un savoir pertinent et toujours en avance de phase ; et cela est non négociable
- Le savoir-faire, l’apprentissage par l’action. L’ESSEC a été pionnière dans ses relations avec les entreprises en montant des chaires. Ce format est un gage d’agilité, de cohérence de nos cursus et de recherches transposables dans l’entreprise
- Le savoir-être, une culture, une manière de faire les choses. Notre pédagogie pousse l’étudiant à se questionner, à s’adapter, à se développer. La flexibilité est intrinsèque à nos cursus, avec 70 % des cours au choix dès la 2e Cela conduit nos élèves à choisir pour tracer leur voie. Or, que fait un leader ? Il trace la voie
« L’ESSEC est en permanence exigeante vis-à-vis de ce qu’elle entreprend »
Votre secret de leader ?
Savoir concilier excellence et singularité.
L’excellence de la recherche, de nos enseignements, de nos services. Sachant que cette excellence ne se décrète pas, elle est reconnue. C’est pourquoi l’ESSEC est en permanence exigeante vis-à-vis de ce qu’elle entreprend. L’excellence, c’est aussi celle de notre réseau, de nos alumni et partenaires entreprises.
A vouloir être excellent, il y a un risque d’homogénéisation. Il faut donc nourrir sa singularité. En approchant de nouveaux marchés via le digital, en customisant nos modes d’apprentissage, en misant sur l’IA avant sa massification, en dépassant le cadre technologique dans notre approche. Nous lançons ainsi un « campus digital », complémentaire de nos 4 campus (Cergy, La Défense, Singapour, Rabat).
Au top à l’ESSEC Business School
Le prof qui tue : Delphine Dion (marketing du luxe) et Sen Chai (innovation) lauréats du prix recherche de la Fondation ESSEC ; Jean-Marie Peretti (management) prix influence 2016 de la Fnege
La recherche mondiale à impact : David Avison (SI, 14 000 citations)
Le lieu qui fait waouh sur le campus : le Knowledge Lab
Le réseau de choc : 50 000 diplômés
Le cours original : Imagination Week