Lucile Simon IAE Caen
©Gaelle Schuster

« Ce stage au congrès américain n’a fait que renforcer mon ambition »

Lucile Simon, étudiante au sein du Master management et commerce international franco-américain de l’IAE de Caen, a réalisé un stage hors du commun au congrès américain. Elle a passé trois mois en tant que Congressional fellow auprès du congressman républicain Buddy Carter. Elle était Jeune ambassadrice Normandie pour la Paix dans le cadre du partenariat entre le French American Fund et la Région Normandie.

 

Travailler au congrès américain, une expérience incroyable ?

C’est en effet un stage super prestigieux ! Je n’ai vraiment réalisé qu’en descendant de l’avion. C’est toujours difficile à réaliser quand vous êtes reçue à la Maison Blanche ou que vous discutez avec des sénateurs…

« Je suis hyper ambitieuse »

Qu’est-ce qui a fait la différence dans votre profil selon vous ?

Je suis hyper ambitieuse, on m’a même félicitée pour cela durant le processus de sélection. Le fait que j’ai passé 6 mois en université à La Nouvelle Orléans a été un plus. Je connais la culture, la langue, j’ai vécu aux Etats-Unis, je suis capable de partir à nouveau. Et surtout j’ai adoré vivre aux Etats-Unis. J’ai aussi défendu mon intérêt pour le projet Normandie pour la Paix, l’importance des relations franco-américaines, de ce qu’ont fait les vétérans pour la France.

Qui étaient les autres candidats ?

L’annonce nous a été communiquée par une professeure du Master. Elle retenu ma candidature et j’ai eu un premier entretien au niveau de l’Université de Caen. Durant les autres phases du processus avec la Région Normandie et la présidente du French American Fund, j’étais face à des étudiants en sciences politiques. Le fait que j’étudie le management, que j’ai un profil plutôt littéraire, a aussi probablement joué en ma faveur.

Quelle a été votre mission ?

J’étais Jeune ambassadrice Normandie pour la Paix dans le cadre du partenariat entre le French American Fund et la Région Normandie. J’ai travaillé avec Buddy Carter, représentant de l’Etat de Géorgie sur l’opération Normandie pour la Paix 2019. J’ai rédigé des memos, des discours, des status letters, appelé des vétérans… Le moment le plus stressant a été ma présentation de Normandie pour la Paix devant les personnes impliquées dans une salle au Congrès.

« J’ai appris à passer à l’action »

Utile ce stage pour la suite ?

C’est un formidable levier de réussite. Je le valorise tous les jours. Le French American Fund en fait une promotion extraordinaire. Le fait d’être française est très bien perçu. Le management américain est très encourageant, on vous explique calmement comment faire, on vous motive. Les Français intellectualisent beaucoup, aux Etats-Unis, j’ai appris à passer à l’action. Je suis aussi repartie avec l’idée de valoriser cette expérience, y compris au plan financier. Mes parents m’ont toujours poussée à réussir et sont heureux de voir que je vais continuer à me battre.

Et demain ?

Le projet Normandie pour la Paix me passionne et j’aimerais continuer à travailler dessus. D’autant que 2019 sera marqué par les 75 ans du débarquement, avec à la clé de nombreux événements de commémoration. Le forum de deux jours sera ponctué de débats sur le thème « Nouvelles guerres et nouvelles paix ». La Normandie ambitionne de devenir la référence de la paix aux yeux des leaders du monde.

https://www.normandie.fr/normandie-pour-la-paix

https://www.thefrenchamericanfund.org/fr/home

 

L’obstination est le chemin de la réussite – Charlie Chaplin

« A partir du moment où j’ai une idée en tête, cela devient une obsession », Djénéba Gory étudiante à Harvard

 

2 projets étudiants de Sup’Biotech, primés au Biomim’ Challenge 2018

Les projets Everlux et Mosqui’Trap de Sup’Biotech ont été distingués lors du Biomin’ Challenge 2018. Ce concours porte sur des projets étudiants bio-inspirés autour du biomimétisme et du développement durable. Les élèves les ont préparés durant 4 ans dans le cadre du Sup’ Biotech Innovation Project (SBIP). Everlux a travaillé sur une pile biologique microbienne tandis que Mosqui’Trap s’inspire des plantes carnivores pour attirer et tuer les moustiques.

https://biomimexpo.wordpress.com/biominnovate-challenge/

www.supbiotech.fr/formation-ingenieur-biologie/sbip-innovation-project