Compétences, talent et enthousiasme… C’est ainsi que le groupe Akiem, leader européen de la location et maintenance intégrée de locomotives et trains de voyageurs, recrute ses collaborateurs, hommes et femmes. La preuve par trois avec les dynamiques Dagmar Pacher (Universität Graz 10), Maintenance Development Manager d’Akiem Technik, Anna Puchalowicz (Warsaw School of Economics 05, ESM-A 08), Head of Sales Central Europe d’Akiem et Sylvie Toutain (IAE Metz), Service Contract Manager and SCM team Coordinator.
Jeune diplômé et ferroviaire, un pari gagnant ?
Dagmar. Oui, clairement, d’autant que le secteur est encore en pleine transformation, à l’instar de l’automobile et de l’aéronautique. Tout est devant nous en matière de maintenance prédictive (capteurs, IT…), de digitalisation et de relation clients. C’est très excitant !
Anna. Le ferroviaire est tellement passionnant que lorsqu’on y entre, on a envie d’y rester ! La complexité des enjeux en fait la richesse. En termes de sécurité bien sûr, mais aussi d’environnement. Le train est le moyen de transport le plus écologique : c’est un pari d’avenir que font de nombreux pays, avec des investissements massifs.
Sylvie. Oui, c’est un secteur peu connu, en pleine croissance et qui recrute. Avec l’ouverture du marché de voyageurs à la concurrence, le paysage ferroviaire est en pleine mutation aves des enjeux colossaux. Jeunes recrues bienvenues !
Le team spirit d’Akiem ?
Sylvie. Solidarité, bienveillance, bonne humeur et tolérance sont des valeurs qui résument bien l’état d’esprit d’Akiem. Depuis mes débuts, des collaborateurs avec de grandes qualités humaines ont été recrutés, ce qui améliore nettement la performance et l’efficacité du travail et des relations. Cette touche humaine est une des grands forces d’Akiem et fait vraiment partie de son ADN.
Anna. Au-delà de la rigueur du « safety first », l’ambiance est dynamique et multiculturelle : on entend parler toutes les langues dans les couloirs ! Je recommande l’alternance, que j’ai expérimentée moi-même, car cela permet de s’imprégner des enjeux du secteur et de bien commencer sa carrière professionnelle.
Dagmar. Notre état d’esprit est ouvert et tourné vers l’avenir, un vrai esprit startup dans un corps de PME ! Nous formons des jeunes diplômés motivés et ambitieux, afin qu’ils comprennent non seulement le fonctionnement d’une locomotive, mais aussi l’utilisation que chaque client va en faire, pour coller parfaitement à leurs besoins.
Comment avez-vous réussi à ne pas faire rimer carrière avec parcours du combattant dans ce secteur assez masculin ?
Dagmar. Lors de mes études et au début de ma carrière, j’avais l’impression de devoir travailler deux fois plus pour arriver au même niveau que les hommes. Mais aujourd’hui, c’est fini ! Je dirige une équipe de 11 personnes, en majorité des hommes, que je manage comme un coach sportif, à l’écoute, mais avec des objectifs clairs.
Sylvie. Evoluer dans un secteur masculin ne rime pas forcément avec sexisme, en tous cas pas chez Akiem. L’humour peut être une bonne arme pour répondre à certaines blagues sexistes et s’imposer si besoin. Mais femmes et hommes travaillent très bien ensemble et la diversité est nécessaire pour accomplir de beaux projets.
Anna. Le professionnalisme et les compétences doivent passer devant les considérations de genre lors des recrutements. Akiem applique cette règle et j’en suis la preuve. Être une femme ne m’empêche pas de parler technique et de signer de beaux contrats. Et j’apporte en plus ma touche d’enthousiasme et d’empathie.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes filles pour dépasser leurs ambitions ?
Sylvie. Doutant de mes connaissances techniques je ne me sentais pas totalement légitime dans ma fonction jusqu’à ce que je réalise que je compensais très bien avec d’autres compétences (communication, leadership…) ! Mes conseils : garder confiance en soi, ne pas s’excuser d’être une femme, oser et rester soi-même.
Dagmar. N’ayez pas peur, ne croyez pas ceux qui disent que vous ne pouvez pas le faire. Soyez dynamiques, prêtes à apprendre et ne vous freinez pas !
Anna. J’ai toujours réalisé mes rêves plutôt que mes ambitions. Si on fait ce qu’on aime, on se réalise forcément. Bien sûr, rien n’est facile et il faut travailler dur. Mais si on tombe, il faut se relever et apprendre de ses échecs.
ENCADRE
Chiffres clés
Filiale de TLP (groupe SNCF) et DWS
CA 2020: 180 millions d’euros
Effectif : 220 collaborateurs
Présent dans 17 pays d’Europe
Contact : stefanie.fahrenbach@akiem.com
fourni par le Borlabs Cookie