Communiqué de presse :
Le 13 septembre dernier, le Financial Times publiait son palmarès des meilleurs Masters in Management, la référence internationale pour toutes les business schools. Cette année, MBS progresse de cinq places et se classe 56e au niveau mondial sur 100 institutions, ce qui fait d’elle la 12e école française.
Une méthodologie adaptée à l’ère post-covid
Face à la crise sanitaire et aux difficultés pour les étudiants de se rendre dans certaines régions du monde, la méthodologie du classement du Financial Times a procédé à quelques ajustements de pondération, en allégeant notamment l’impact de l’expérience à l’international au cours du cursus.
Si le retour à la normale en termes de mobilité internationale semble désormais de plus en plus proche, l’école a cherché à proposer aux étudiants qui ne pouvaient pas partir des solutions différentes pour leur offrir les mêmes chances que leurs prédécesseurs de développer cette expérience. Parmi ces leviers : l’internationalisation de son corps professoral que le classement du Financial Times classe 4e parmi les business schools françaises.
Pour rappel, la méthodologie du classement du Financial Times s’appuie à 58% sur les réponses des alumni..
4e école française pour le retour sur investissement
Le palmarès du FT donne une forte importance aux indicateurs liés à la rémunération. Parmi eux, un point fort de MBS souligné dans ce classement : le retour sur investissement.
« Cette année, MBS a progressé sur ce critère grâce à une augmentation des salaires de ses alumni, mais aussi en capitalisant sur son statut historique de 1re Grande Ecole pour l’alternance avec plus de 1500 alternants et sur son considérable investissement en bourses et aides sociale aux étudiants », analyse Bruno Ducasse, directeur général de MBS, classée 4e école française du classement pour le critère du retour sur investissement.
Pour découvrir le classement, rendez-vous ici.
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