« Rejoignez un groupe qui a mis la data au cœur de sa stratégie de développement ! » lance aux jeunes talents Maxime Havez (INSA Rennes 12, Université de Rennes 12),Chief Data Officer du Crédit Mutuel Arkéa.
L’atout clé du Crédit Mutuel Arkéa ?
Ce groupe bancaire fédère les Crédit Mutuel de Bretagne et du Sud-Ouest, ainsi qu’une quarantaine de filiales spécialisées dont Fortuneo, Financo, Monext… La singularité du modèle du Crédit Mutuel Arkéa réside notamment dans son ancrage territorial. Nous sommes l’une des seules banques à avoir notre siège en région. L’échelon territorial est un maillon clé pour assurer nos transformations écologiques, économiques et sociales. Nous nous sommes d’ailleurs récemment dotés du statut d’entreprise à mission, qui traduit notre ambition d’être une banque à impact, un acteur clé de la transformation durable et responsable de la société. Cela se traduit par des investissements et des partenariats. Au-delà du volet financier de la banque et de l’assurance, travailler chez nous, c’est donner du sens à ses engagements.
La data, c’était une évidence pour vous ?
Au fil de ma carrière, j’ai pu exercer différents métiers de la donnée. J’ai commencé par data ingénieur, puis data architecte avec le volet IT du métier avant de devenir data scientist et de travailler sur la modélisation. Le challenge qui m’a toujours fasciné c’est de parvenir à valoriser la donnée en mettant autour de la table des compétences variées (métier, IT, et mathématiques) pour avoir des sujets viables d’un point de vue business et faisables d’un point de vue technique et IT.
Quels sont les défis de votre fonction ?
Avec le plan stratégique Transitions 2024, le groupe a fait de la data un levier important et a créé un data office dont j’ai pris la responsabilité début 2022. Nous avons plusieurs missions : l’accompagnement des métiers dans leur adoption des nouvelles formes de valorisation de la donnée (l’Intelligence Artificielle notamment), l’animation de l’innovation groupe, le pilotage de programmes transverses lié à l’usage responsable et transparent des données de nos clients et à la collecte de données extra financières.
Quelles opportunités pour les jeunes talents ?
Le data office est au service des autres entités du groupe auxquelles nous apportons des compétences techniques. Les INSA peuvent rentrer comme data engineer, data scientist ou encore data analyst. Mais au-delà des compétences, il faut des soft skills essentielles de curiosité et de veille. Quand un candidat me démontre une bonne démarche scientifique et une capacité de raisonnement et de prise de recul dans des environnements complexes, je suis en général convaincu d’avoir trouvé un talent-pépite. Je sais qu’il pourra prendre suffisamment de recul pour échanger avec toutes les parties prenantes IT ou métiers.
#INSARennes
« Quand j’ai quitté l’INSA, la filière Génie mathématique n’existait pas. Elle a été mise en place l’année après mon diplôme par le Professeur James Ledoux avec qui j’ai régulièrement échangé par la suite. Je retiens la grande qualité des enseignants-chercheurs et la capacité d’adaptation des parcours. C’est une force de l’école et la mise en place de ce programme en est la preuve. »
Un écosystème numérique breton
« En 2016, j’ai créé un groupe meetup pour rassembler les acteurs de la data de la région brestoise, démocratiser ces nouveaux métiers et partager autour des bonnes pratiques. Je l’ai lancé comme un pari mais, très vite, nous avons mis en place des événements annuels et assisté au développement d’un écosystème data. Plusieurs dispositifs se sont progressivement mis en place : lancement d’une école IA Microsoft, mise en place d’un évènement annuel : les AI Days… Les entreprises de services numériques se développent également de plus en plus sur ce domaine (nouveaux acteurs et acteurs historiques). Nous sommes aujourd’hui 800 membres dans ce meetup. C’est une réussite collective ».
Contact : maxime.havez@arkea.com
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