Jeune entreprise multiculturelle en pleine croissance, Electrolux Professional a soif de jeunes ingénieurs capables de s’élancer dans de multiples projets innovants où ils apprendront beaucoup en développant leur fibre entrepreneuriale. Le témoignage de Guilhem Senegas (CentraleSupélec 98), son Chief Information Officer & Head of digital transformation.
Electrolux Professional n’a que deux ans mais fait déjà beaucoup de choses. Et dans plusieurs secteurs d’activité : racontez-nous !
Devenue indépendante il y a deux ans, cette jeune entreprise suédoise cotée en bourse est dédiée aux professionnels de la restauration, l’hôtellerie, les hôpitaux et chaines de restauration pour lesquels elle développe des solutions dans le domaine du matériel de cuisine, de la blanchisserie et des boissons (chaudes ou froides).
Pourquoi vous êtes-vous tout de suite senti à votre place en arrivant chez Electrolux Professional ?
A ce moment clé de mon parcours, j’ai saisi l’opportunité de devenir DSI (première fois) au sein d’une entreprise jeune où tout était à faire. Membre du ComEx rapportant directement au PDG, ma liberté d’action et mon influence rendent mon job passionnant. Surtout dans un environnement aussi international. D’ailleurs, je suis en train d’apprendre l’italien !
4 000 collaborateurs seulement pour 30 pays et 110 marchés différents. Cela doit renforcer la fibre entrepreneuriale ?
Cela fait même toute la différence. Travaillant en équipes réduites, nous devons absolument être agiles et flexibles. Autonomes, nous pouvons aller vite, décider, oser, agir, lancer des projets, échouer, recommencer, réussir… Cela entretient notre capacité à apprendre et développe incontestablement notre fibre entrepreneuriale.
Deux mots des expériences pédagogiques inoubliables délivrées dans vos Centres d’Excellence.
Nous disposons de show-rooms dans chaque pays. Des lieux uniques pour former nos distributeurs et clients finaux. Un exemple d’expérience inoubliable ? Côté cuisine, le matériel sur lequel les gens travaillent est celui qui équipe les 3 étoiles, dont certains parmi les meilleurs restaurants du monde !
Parlez-nous de vos Research Hub, ces partenariats avec des universités et centres de recherche.
Ils nous permettent de recruter des doctorants qui vont travailler sur des sujets précis : l’IA, l’innovation, des développements d’applications pointues, etc. Cela nous permet d’acquérir de nouvelles compétences et d’avancer ensemble sur des projets vraiment disruptifs, risqués même parfois, mais qui débouchent également sur des solutions vraiment innovantes.
Quels postes attendent les jeunes ingés qui viendront vous épauler dans le développement du groupe ?
Plus que tout, nos besoins en jeunes talents concernent la technologie Salesforce (développeurs full stack), la cybersécurité ainsi que le domaine de la data : data analysts, data engineers et data scientists afin de nous aider à transformer l’entreprise et son business model. Notre R&D est aussi avide de têtes chercheuses dans le domaine de l’IoT où nous développons des solutions réellement innovantes liées à notre matériel, qui est bien sûr connecté, mais aussi dans le développement d’applications mobiles.
La marque de fabrique CentraleSupélec ?
De manière constante, on retrouve chez les ingénieurs de CentraleSupélec cette curiosité associée à une capacité à travailler et apprendre sur des sujets nouveaux. Et c’est précieux. Ajouté à cela un état d’esprit favorisant un puissant engagement dans tout ce que l’on entreprend. Enfin, l’école propose aujourd’hui une ouverture sur l’international qui est devenue cruciale. Je ne travaille en ce moment qu’avec des collaborateurs d’autres pays !
Chiffres clés : 4 000 collaborateurs / CA : 8 milliards de Couronnes suédoises / Présents dans 30 pays et 110 marchés