Et si vous découvriez les coulisses d’Advolis Orfis ? L’interview d’Antoni Vassileff

Un contexte multisectoriel et international, des chiffres, une responsabilisation rapide et un véritable esprit entrepreneurial : le cabinet d’audit et de conseil Advolis Orfis coche toutes les cases du job de rêve pour un.e jeune Polytechnicien.ne ! Antoni Vassileff (X 98), Partner, vous explique pourquoi.

Débuter sa carrière chez Advolis Orfis c’est…

Découvrir les métiers de l’audit et du conseil, centrés sur le fonctionnement et les rouages de l’entreprise. Nous rejoindre, c’est se donner la possibilité de devenir un expert de l’entreprise, de sa performance opérationnelle et financière, de son organisation, de ses processus, de son respect des règles et de ses opérations de croissance. Débuter sa carrière chez Advolis Orfis, c’est s’offrir la meilleure première école professionnelle et donc, l’opportunité de faire les bons choix tout au long de sa carrière.

Quelle valeur ajoutée vraiment différenciante apportez-vous à vos clients ?

La nature de nos métiers fait que nous sommes capables de nous adresser à des entreprises de toutes tailles (y compris des grands comptes comme Amazon, Orange ou BASF par exemple), dans nos pays d’implantation (France, Belgique, Allemagne, mais aussi en Europe et aux USA) et dans tous les secteurs. Grâce à sa philosophie entrepreneuriale, Advolis Orfis est capable de proposer des services très adaptés aux demandes des entreprises. Nous appliquons une approche sur mesure qui nous conduit à adapter nos process et nos méthodes, nous sommes dans une écoute très attentive du client et une implication de tous, collaborateurs et associés, dans nos missions.

Comment les jeunes X s’inscrivent-ils dans cette dynamique ?

Leur rigueur, leur honnêteté intellectuelle, leur capacité à travailler vite et bien et à aller au fond des choses sont des qualités au cœur de nos métiers. Un des enjeux de nos missions consiste à s’assurer que les entreprises respectent les règles : c’est comme mener une enquête policière ! Les X qui ont appris à développer des raisonnements solides nourris par un esprit laissant place aux doutes et aux questionnements, sont donc parfaitement préparés à notre activité. Une activité qui, de plus, est marquée par les chiffres, un domaine où ils sont aussi particulièrement à l’aise.

Votre formation d’ingénieur : un background essentiel pour assurer vos missions de partner aujourd’hui ?

J’ai toujours eu un fort intérêt pour le rôle de la régulation dans l’économie. Après l’X, j’ai étudié la régulation à Harvard et je suis ensuite venu appliquer ce que j’avais étudié à la Direction de la concurrence de la Commission Européenne à Bruxelles. Marqué lors de mon séjour aux USA par l’appétence américaine pour les idées nouvelles, la créativité et l’esprit entrepreneurial, j’ai moi aussi eu par la suite envie d’entreprendre quelque chose. J’ai alors créé le bureau d’Advolis à Bruxelles et suis devenu partner du cabinet. Un poste dans lequel la capacité à analyser rapidement les problématiques et à les restituer de manière claire et rationnelle – acquise à l’X – me sert toujours au quotidien.

D’ailleurs, en quoi consistent vos missions de partner ?

Etre partner chez Advolis Orfis, c’est être un entrepreneur qui développe et fait prospérer une activité en s’appuyant sur une équipe et des compétences reconnues. En ce qui me concerne, je me positionne sur les sujets de conformité, à la fois dans une démarche de conseil (pour aider les entreprises à s’organiser afin que la logique business ne prévale pas sur la logique compliance) ou d’audit. Et ce dans toute l’Europe.

La valeur must have pour rejoindre vos équipes ?

L’honnêteté intellectuelle et l’humilité. Venir de l’X c’est un gage de qualité mais ça ne suffit pas : ici on réussit aussi bien pour ce qu’on est que pour ce qu’on apporte. Il est essentiel d’avoir cette humilité, car c’est elle qui permet de progresser et de faire ses preuves.

#Promo98

Lors du concours, j’avais reçu la note peu encourageante de 4/20 à l’oral d’anglais. Quel ne fut pas mon effroi lorsque je reconnus en mon professeur d’anglais de première année l’examinateur qui avait été si cruel. En réalité, sous des devants austères, ce professeur était d’une grande drôlerie – je ne me suis jamais autant amusé que pendant son cours – je pense aujourd’hui encore à lui et aux autres excellents enseignants de l’époque. Quelle chance nous avions !

CONTACT

avassileff@advolis-orfis.com