ADELINE FOGEL, DIRECTRICE MARKETING ET COMMUNICATION EXTERNE DE MERCER FRANCE
ADELINE FOGEL, DIRECTRICE MARKETING ET COMMUNICATION EXTERNE DE MERCER FRANCE

FEMME OU HOMME, MERCER FRANCE AIDE TOUS LES TALENTS À PROGRESSER

AVEC 67 % DE COLLABORATRICES ET UNE ÉQUIPE DIRIGEANTE DE PLUS EN PLUS FÉMINISÉE EN FRANCE, MERCER, LEADER MONDIAL DU CONSEIL EN RH, A DE QUOI INSPIRER LES ENTREPRISES QU’IL CONSEILLE. ADELINE FOGEL, DIRECTRICE MARKETING ET COMMUNICATION DE MERCER FRANCE NOUS EN DIT PLUS SUR LES ACTIONS ENGAGÉES PAR LE GROUPE POUR PERMETTRE AUX FEMMES DE TALENT D’ASSUMER LEURS AMBITIONS.

 

ADELINE FOGEL, DIRECTRICE MARKETING ET COMMUNICATION EXTERNE DE MERCER FRANCE © Mercer France
ADELINE FOGEL, DIRECTRICE MARKETING ET COMMUNICATION EXTERNE DE MERCER FRANCE © Mercer France

UN TERRAIN DE JEU IDÉAL POUR UNE PROFESSIONNELLE DE LA COMMUNICATION
Attirée par l’étendue et la variété de ses offres, Adeline Fogel a rejoint Mercer il y a 3 ans. « Aucun autre cabinet en France ne propose de conseil à la fois en Frais de santé et prévoyance, retraite, Conseil en capital humain, mobilité internationale, données RH et Fusions et acquisitions. Sa richesse, Mercer la tire également de l’étendue de sa clientèle en travaillant aussi bien pour des filiales de groupes internationaux que des entreprises du CAC 40 et des PME ce qui, en termes de communication est à la fois unique, complexe et passionnant. » C’est d’ailleurs la passion qui guide depuis toujours cette communicante. « Je conseille et accompagne les managers et les dirigeants d’une entreprise à définir leurs messages, choisir l’outil de communication qui leur est le mieux adapté. Souvent considéré comme facile, c’est un métier complexe : il est plus aisé d’apprendre les offres, les services et les produits d’une entreprise que de mettre en place une communication efficace. »

 

« Présent dans
40 pays, Mercer a lancé
35 réseaux de femmes pour aider ses collaboratrices
à progresser dans l’entreprise.»

L’ENTREPRENEURIAT AU FÉMININ, CHOIX DE VIE OU CHOIX DE CARRIÈRE ?
Si elle a évolué au sein de grands groupes, Adeline Fogel a aussi joué la carte de l’entrepreneuriat. « Un changement de vie personnel m’a fait partir en province. J’ai alors donné des cours de communication à la Chambre de Commerce et les patrons de PME auxquels je m’adressais m’ont convaincue de monter ma propre agence. » D’abord dicté par la vie, ce choix s’est révélé très enrichissant. « Il faut savoir tout faire, avoir la casquette de vendeur, d’expert, de gestionnaire, de manager…. Si je ne regrette absolument pas cette période, ce n’est pas forcément une voie que je conseillerais particulièrement à une jeune mère. Même si l’aménagement de son planning est plus flexible, c’est une belle expérience mais pas une solution miracle. »

 

ASSUMER SES AMBITIONS OU LA DURE RÉALITÉ DES FEMMES EN ENTREPRISE
Aujourd’hui dans le top management d’un géant mondial du conseil, Adeline Fogel le constate « Si les équipes de Mercer sont très féminisées, comme dans toutes les entreprises, plus on monte dans la hiérarchie, moins les femmes sont présentes. » En réaction Mercer a mis en place de nombreux outils pour accélérer la montée des femmes aux postes à responsabilités. « Présents dans 40 pays, Mercer a lancé le réseau Woman@Mercer dans 35 bureaux pour aider nos collaboratrices à progresser dans l’entreprise. Ils proposent du mentoring, des cycles de formation, du networking et des participations à des évènements ou à d’autres réseaux de femmes. » Cela serait-il la preuve de l’existence d’un management au féminin ? Sans aucun doute pour Adeline Fogel qui le voit comme un savant mélange d’écoute, d’analyse, d’intuition et d’organisation. « Mais si ces qualités dites féminines sont souvent appréciables chez un manager, il faut aussi parfois oublier sa spécificité féminine pour avant tout être perçue comme une professionnelle ! » insiste-t-elle

 

Souvenir DE CARRIÈRE
« Après 8 ans à la tête de mon agence de communication, j’ai voulu retrouver le privé. J’ai alors fait face à un recruteur qui m’a demandé comment je comptais faire pour travailler avec 3 jeunes enfants. Il n’aurait évidemment pas posé la même question à un homme. Je lui ai naturellement répondu qu’en tant que mère et chef d’entreprise j’étais forcément une femme très organisée, une qualité dans mon métier. Convaincu, nous avons ensuite travaillé 10 ans ensemble. Dans un monde idéal, j’aimerais que l’on arrête de refuser sa chance à une jeune femme parce qu’elle est ou peut-être mère. »

 

CW.

 

Contact : adeline.fogel@mercer.com