Fiducial est le leader des services pluridisciplinaires aux petites entreprises, artisans, commerçants, professions libérales et agriculteurs. La complémentarité et la mise en commun des savoir-faire au sein de Fiducial lui ont permis d’acquérir une expertise complète dans les métiers du droit, de l’audit, de l’expertise comptable, de la banque, du conseil financier, de l’informatique, de la sécurité et du monde du bureau. Créée en 1970 par Christian Latouche, son fondateur et actuel Président, Fiducial s’est développée grâce à une dynamique de croissance ininterrompue depuis plus de 45 ans.
Elle est aujourd’hui présente dans 78 pays et compte 17 340 collaborateurs réalisant un chiffre d’affaires de 1,610 milliard de dollars. En Europe, avec un chiffre d’affaires de 980 millions d’euros, 11 040 collaborateurs et 640 agences Fiducial, est proche de ses 275 000 clients. Grâce à ce réseau de proximité, elle sait allier la pérennité et la puissance d’une firme internationale à la souplesse et la réactivité d’un partenaire local.
Être au service des entrepreneurs
Firme française détenue à 100 % par son président fondateur Christian Latouche, Fiducial manifeste, année après année, la volonté d’apporter aux chefs d’entreprise une offre complète et évolutive de produits et de services à valeur ajoutée, développée pour répondre aux différentes périodes qui rythment la vie de l’entreprise et de son dirigeant. « Dès 1970, j’ai apporté aux chefs d’entreprise une offre globale de services personnalisés pour qu’ils puissent pleinement se consacrer à leur métier, explique Christian Latouche. J’ai toujours eu la conviction que la parfaite connaissance du métier de son client constitue un préalable indispensable à tout conseil de qualité. »
Être proche de ses clients
Dès son origine, Fiducial a fait le choix d’être proche de sa clientèle. Pour Christian Latouche, « cette forte proximité relationnelle est gage de confiance réciproque ». D’année en année, la firme a développé un réseau de 640 agences en Europe. « En interne, on a coutume de dire qu’on trouve une agence Fiducial tous les 30 kilomètres en moyenne. »
« Paroles d’avenir » Extraits d’un entretien avec Christian Latouche, Président fondateur de Fiducial.
Une force qui va
Q – Qu’est-ce qui vous anime encore après un tel succès d’entrepreneur ?
R – D’une certaine façon, deux passions dirigent ma vie : l’idée de mission, à la manière des Jésuites, avec une hiérarchie et une volonté d’enseignement et puis l’amour de la France. Jeune, j’étais un passionné de la croisade de Raoul Follereau contre la peste. Et je me disais que chaque être dispose d’un capital, le temps, d’un trésor caché, le cerveau, et d’une mission, celle d’être venu pour les autres. Tout en étant exigeant vis-à-vis des autres : chaque personne doit, en effet, contribuer, apporter sa pierre à l’effort collectif. D’ailleurs, mon exigence vitale c’est de continuer l’aventure Fiducial. Si l’on réfléchit la réussite professionnelle n’est pas technique comme j’ai pu le croire à l’origine mais bien comportementale.
Temps et réflexion
Q – Vous êtes très attentif à la gestion du temps. Est-ce que cela vous conduit à rejeter le superflu, les sorties dans le monde ? A ne pas multiplier les contacts extérieurs ?
R – J’ai une passion pour la nuit. Soit elle me porte conseil et solutionne mes questionnements. Soit, elle veille sur moi : me voilà réveillé vers 3-4 heures du matin traçant sur le papier une belle pensée construite. Plus globalement, j’ai horreur de perdre du temps. J’accepte fort peu d’invitations. En mon sarcophage, je suis comme Toutankhamon : disparu de la surface de la terre mais pas du monde du travail. Ce qui ne m’empêche nullement de rencontrer beaucoup de personnes hautement qualifiées mais aussi des plus modestes, de chercher de l’information, de visiter la planète à travers la télévision. En synthèse, je dirai volontiers que ma réflexion préférentielle porte sur la notion d’évolution.
L’électronique ne va pas remplacer l’homme
Q – Voici que se profile l’ère du Cloud, des data centers. Ces évolutions ont-elles un impact sur votre système d’information ?
R- Je suis un passionné d’informatique. Il ne faut pas craindre pour autant de revenir aux fondamentaux. L’électronique ne va pas remplacer l’homme. Je répète, la numérisation, l’intelligence artificielle ne vont pas se substituer à l’homme. Les robots contemporains sont les esclaves de la Rome antique, des outils. Après tout Spartacus ne l’a nullement emporté, il a même très mal fini… L’informatique est une assistance au cerveau humain. Comme vous l’imaginez, le Cloud et les data centers ne me sont point inconnus. Pour gagner du temps Fiducial rachète des sociétés spécialisées. Et j’ai réfléchi depuis longtemps à l’importance du traitement local et au rôle décisif de la tablette ou du smartphone.
Quel avenir dans le miroir ?
Q – Est-ce que je vous choque lorsque j’évoque le mot succession ?
R – C’est tout à fait légitime d’évoquer le futur. Si j’avais, pour me faire comprendre, à comparer Fiducial à une structure existante, je dirais volontiers qu’il s’agit d’une ONG, une organisation sui generis. Au fond, Fiducial mène une mission régalienne de défense des TPE, de facilitation de la création d’entreprises, de lutte contre le corporatisme. Voilà plus de 45 ans que Fiducial est née : elle est loin d’être à l’âge adulte. Sa taille va grandir avec celle de ses clients, actuels et nouveaux. La succession du fondateur ne se pose pas vraiment. Il n’y a pas à le remplacer. Fiducial n’est pas à vendre. Fiducial se pérennise sans effort au travers des femmes et des hommes qui dirigent aujourd’hui les différentes Business Units. Ils ont été choisis. Ce sont donc ces choix humains qui vont garantir l’avenir. Fiducial n’est pas une entreprise financière. Le capital de Fiducial, vous l’avez compris, c’est le temps. Au fond il n’y a que le rapport au temps qui soit principal.
Contact : www.recrute.fiducial.fr