Vieillot l’univers de la mutuelle ? Certainement pas chez GARANCE ! Jeune et dynamique, l’entreprise est à l’image de ses collaborateurs. Comme sa nouvelle Directrice Générale, Virginie Hauswald (HEC Montréal 06), et sa Directrice des Ressources Humaines et de l’innovation sociale, Anne-Laure Tapponier (ESG 00). Interview.
GARANCE, the « great place to work » ?
Anne-Laure Tapponier. Bien sûr ! Cette année, GARANCE est de nouveau lauréate au classement France Best Workplaces de Great Place to Work, qui récompense les entreprises où il fait bon vivre. Nous remportons la 11e place du palmarès 2020 des entreprises de 50 à 250 salariés. En trois ans, notre entreprise a gagné 30 places.
Virginie Hauswald. Moi qui suis arrivée chez GARANCE en février 2020, je peux déjà attester que c’est une entreprise où il fait bon vivre, où on laisse une chance à chaque collaborateur de s’épanouir dans sa carrière. La preuve : le poste de DG m’a été confié alors que je venais d’accoucher. L’entreprise a respecté ma vie privée et m’a accordé sa confiance.
Qu’est-ce qui vous a donné le coup de cœur pour GARANCE ?
VH. Sa politique RSE en particulier, labellisée LUCIE depuis 2018. Et son engagement avec la Fondation GARANCE, dédiée à l’artisanat, qui distribue des bourses d’excellence aux jeunes motivés. GARANCE est un acteur citoyen et engagé du tissu économique, social et local.
A-LT. Son agilité. Il faut casser cette image de « mutuelle mammouth ». GARANCE ne cesse de vouloir innover, offre des possibilités d’évolutions rares, libère la parole, encourage le collaboratif et écoute les idées. On s’y sent tellement bien que c’est comme une deuxième famille !
La dernière fois qu’une jeune recrue vous a mis des paillettes dans les yeux ?
A-LT. Il n’y en a pas qu’une seule ! Car plus que des compétences métiers, nous recrutons des personnes qui ont du potentiel et un état d’esprit qui matche avec les valeurs de GARANCE : engagement, confiance, transparence et indépendance. C’est la force de notre entreprise.
La meilleure question à vous poser en entretien d’embauche ?
A-LT. Poser des questions au sujet de nos valeurs justement. Le candidat doit incarner, véhiculer et partager les mêmes.
VH. J’aime ceux qui demandent les objectifs de l’entreprise pour voir s’ils pourront donner le sens qu’ils souhaitent à leur métier. Le job matching se fait des deux côtés.
Vos offres d’emplois du moment ?
A-LT. Commerciaux terrain et commerciaux au siège, chargés de clientèle téléphonique. Mais aussi dans les fonctions support : informaticien, architecte technique, comptable, chargé de contrôle interne, chargé de la gestion des risques, juriste… Nous accueillons également des stagiaires et des alternants.
Comment avez-vous nourri votre team spirit pendant le confinement ?
A-LT. Nous avons anticipé et nous nous sommes très vite adaptés. Tous nos salariés étaient équipés pour être en télétravail dès le début du confinement. Beaucoup nous ont avoué être tristes d’être séparés de leurs collègues et de ne plus venir au bureau. Alors, nous avons lancé des programmes en ligne pour qu’ils puissent passer un bon moment ensemble à distance : cours de sport, initiation à la sophrologie, formations (produits, nouveaux outils, chiffres clés et performance…), conseils pour adopter une bonne posture devant l’écran par un collaborateur ancien ostéopathe…
VH. Nous avons même créé un groupe WhatsApp entre managers pour se partager nos bonnes pratiques quant à la gestion des équipes à distance, mais aussi des clients pour qui nous avons, par exemple, ouvert un site spécifique. Nous avons aussi lancé un fonds de solidarité pour les artisans les plus touchés par la crise sanitaire.
#InJeuneDipWeTrust
Pourquoi les jeunes diplômés sont ceux qu’il vous faut ?
A-LT. Ils nous apportent leur fraîcheur !
VH. Ils arrivent avec des idées neuves, parfois déroutantes, mais qui répondent à de vrais besoins, loin des codes du monde de l’entreprise. Ils osent.
#Convivialité #Partage #Transversalité #Engagement
Parce que les meilleurs ambassadeurs d’une entreprise sont ses collaborateurs, Maureen Brunet (Pôle Paris Alternance 13) et Maxime Moreau (IUT Aix-Marseille 15) prennent la parole. La première est contrôleuse de gestion tandis que le second est conseiller mutualiste. Ces deux jeunes recrues confirment : il fait bon vivre chez GARANCE !
LA raison qui vous a poussés à rejoindre GARANCE et pas une autre entreprise ?
Maxime Moreau. Pour ma part, j’ai grandi avec la mutuelle car ma mère y travaille depuis des années. J’ai donc été coopté. Quand j’ai vu à quel point elle était heureuse et impliqué dans son travail, j’ai décidé de rejoindre GARANCE en alternance lorsque j’étais en BTS. Je suis ensuite parti faire mes premières armes ailleurs… mais je n’ai pu m’empêcher de revenir en novembre 2019 ! L’herbe n’était pas plus verte ailleurs !
Maureen Brunet. J’ai moi aussi été cooptée. D’ailleurs, il y a beaucoup de cooptation chez GARANCE. Ce qui prouve bien que l’entreprise a la confiance de ses équipes.
GARANCE c’est donc le bon plan ?
MM. Oui, surtout si vous voulez être dans la pratique quand vous entrez en alternance. Les managers aiment ceux qui osent et nous laissent la main dès qu’on se sent prêts. On ne se sent pas bridés. En plus, les équipes mettent à l’aise et proposent tout de suite d’aller boire un verre entre collègues pour apprendre à se connaitre dans un cadre moins formel.
MB. On est tout de suite bien intégrés et accompagnés. Le séminaire d’intégration est adapté et pensé pour les salariés.
Le rythme de travail chez GARANCE ?
MB. Comme tout le monde, nous avons des deadlines à respecter. J’organise mon emploi du temps en fonction de celles-ci. Mais une fois qu’elles sont passées, je peux moduler mes horaires comme je le souhaite. Je suis maman et c’est important pour moi d’avoir un équilibre vie pro / vie perso.
MM. C’est très rythmé. Il n’y a jamais de routine, on fait plein de tâches différentes et intéressantes. En tout cas, je mets un point d’honneur à ne jamais fermer mon ordinateur à cause de la fatigue, mais toujours avec un sentiment de satisfaction.
Décrivez-nous votre bureau !
MB. J’ai la chance d’avoir un magnifique bureau que je partage avec un collègue. J’ai un stylo et un calepin qui traînent car je griffonne toujours des choses. Mon carburant : le thé et les fruits. Et quelques chocolats de temps en temps !
MM. Chez moi, en home-office, j’ai un bureau clean et un petit tas de bazar dans un coin, caché, auquel je n’ose pas m’attaquer. Mais, avec tous mes déplacements, mon bureau peut être une table de salon chez un adhérent ou un comptoir lors d’un évènement de partenaire.
Quel est le meilleur feedback que vous ayez eu de la part de votre manager ?
MM. Je me souviens d’un rendez-vous clientèle où mon inspecteur régional m’accompagnait. Tout s’est très bien passé et il m’a félicité pour mon travail. Il m’a même dit « c’est bon je peux prendre ma retraite ! » Depuis c’est devenu mon objectif professionnel : être capable de prendre sa place quand il sera à la retraite !
MB. Moi, il s’agit plutôt d’un bon conseil que l’on m’a donné : un contrôleur de gestion se doit d’être un bon communicant. Depuis, j’essaye d’être dans une démarche d’accompagnement de mes interlocuteurs de façon à avoir les informations les plus exhaustives possibles. Cette stratégie est toujours payante et c’est un bon état d’esprit.
« On ne dit pas « je travaille pour GARANCE », on dit « je suis un GARANCIEN ». Ça veut tout dire non ? » – Maxime Moreau, conseiller mutualiste
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