Le deuxième acteur bancaire en France aime les talents et le fait savoir. « BPCE, vous offre l’opportunité de vivre des parcours très variés, profitez-en ! », assure Frédéric Cormerois, (EDHEC Business School 98) directeur du marché Entreprises, Économie Sociale et Institutionnels pour le réseau des Caisses d’Epargne à BPCE. Les banques coopératives, c’est l’avenir !
Pourquoi le modèle coopératif a tout bon ?
Le Groupe BPCE exerce tous les métiers de la banque et de l’assurance avec 100 000 collaborateurs, et au service de 36 millions de clients dans le monde, particuliers, professionnels, entreprises, investisseurs et collectivités locales. Il est présent dans la banque de proximité et l’assurance avec ses deux grands réseaux Banque Populaire et Caisse d’Epargne ainsi que la Banque Palatine. Au niveau mondial, Natixis joue un rôle important sur les métiers de gestion d’actifs, de banque de grande clientèle et de paiements.
Les banques régionales coopératives n’ont jamais été aussi modernes et attirantes. Elles sont détenues par leurs clients sociétaires et sont des entreprises ancrées dans les territoires et attachées au développement pérenne des territoires. Avec plus de 200 ans d’existence, la Caisse d’Epargne est un des premiers financeurs des collectivités locales et le 1er financeur de l’économie sociale et solidaire. Nos 15 Caisses d’Epargne implantées accompagnent également dans leurs projets de croissance des dirigeants de PME et d’ETI mais aussi des startups via le dispositif Néo Business Rejoignez un groupe qui a un impact positif sur l’environnement des entreprises !
Que vous a appris cette crise sanitaire sans précédent ?
Cela reste une expérience éprouvante, mais surtout très stimulante. Dès le mois de mars 2020, nous avons été mobilisés pour donner de l’oxygène aux entreprises. Nous avons mis en place les mesures d’urgences comme les reports d’échéances de prêts professionnels, le prêt garanti par l’État (PGE)… J’ai eu le sentiment que nous avions été utiles et contribué à sauver ce qui pouvait l’être. Aujourd’hui, nous sommes mobilisés pour aider les entreprises à relancer leur activité et/ou à poursuivre leur croissance. Des solutions et financements sont proposés pour les accompagner dans leurs investissements à court et moyen terme (digitalisation, transformation RH, transition énergétique, financements des besoins matériels et immatériels, international, croissance externe, etc.).
Quid du e-commerce devenu incontournable ?
La Caisse d’Epargne accompagne des market place ou des grandes marques par des solutions e-commerce dédiées aux plus grands commerçants, mais notre raison d’être de banque coopérative de proximité, c’est aussi de développer des solutions adaptées aux besoins de nos clients PME et ETI. C’est pourquoi nous avons lancé IZ e-commerce en janvier dernier. Cette solution permet de développer son chiffre d’affaires sur Internet grâce à une formule « tout en un » personnalisable en bénéficiant des compétences de spécialistes du e-commerce. Nos clients sont d’abord accompagnés pour la conception de leur site internet sur la plateforme Shopify par des experts en marketing digital, puis pour la mise en place et la sécurisation de l’encaissement de leur chiffre d’affaires par notre filiale Payplug. Ils peuvent alors gérer leur e-boutique en toute simplicité et la faire évoluer dans le temps en fonction de leurs besoins.
La fonction commerciale, c’est la voie royale ?
C’est celle où l’on embauche le plus. Le métier de chargé d’affaires est une excellente porte d’entrée. C’est un job passionnant qui allie la technique, avec l’analyse financière, et le relationnel client avec une double dimension de conquête interne et externe. Le marché entreprise est pour moi le plus exaltant car on est en relation permanente avec des entrepreneurs, des dirigeants et des directeurs financiers et l’on contribue au développement du territoire. J’ai adoré m’occuper de clients dans des secteurs d’activités très différents : agences de communication, grande distribution, BTP, constructeurs automobiles, etc. On peut commencer comme chargé d’affaires junior sur le marché des professionnels ou au contact de PME des solutions de financements structurés puis se voir confier des dossiers à plus forts enjeu. À la tête de la direction marketing Entreprises et Economie Sociale de la Caisse d’Epargne, j’anime 500 chargés d’affaires dans toute la France.
Les autres jobs pépites ?
Le métier d’analyste crédit est aussi une bonne manière de débuter car il conduit à analyser beaucoup de dossiers. On peut aussi se spécialiser sur des fonctions plus techniques (financements structurés, trade finance, cash management). Enfin, nos organisations ont un besoin permanent d’adaptation et la fonction RH, qui est au cœur de cette démarche de transformation, offre beaucoup d’opportunités et des parcours remarquables. Comme en atteste mon parcours, au sein du Groupe BPCE, on peut vivre des mobilités géographiques, fonctionnelles, changer de marques, de marchés. Il y a une vraie richesse de parcours.
+ Bon à savoir : le Groupe BPCE se classe en 8è position du classement LinkedIn Top Companies 2021 des 25 entreprises offrant les meilleures perspectives de carrière en France.
On naît leader ou on le devient ?
J’ai senti très tôt que j’avais envie de m’occuper des autres, de les former, de les accompagner dans leurs missions. Mes expériences de patron d’association et de capitaine de l’équipe de rugby de l’EDHEC m’ont prouvé que j’avais cette capacité et que j’avais un impact positif sur les gens.
En route pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 !
« Le Groupe BPCE est partenaire Premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. La Caisse d’Epargne a toujours souhaité accompagner les évolutions des sociétés, fidèles à ses valeurs de solidarité et d’inclusion. En tant que mécène, nous soutenons historiquement 30 disciplines différentes et 1 500 athlètes. Le sport, c’est un reflet des valeurs d’efforts et de performance que nous partageons. Nous souhaitons faire de cet événement des Jeux utiles pour tous. C’est une chance historique de transformer durablement certains territoires et de les faire rayonner au plan international. Nous finançons les travaux des quatre sites parisiens, notamment le Grand Palais. Les Caisses d’Epargne se mobilisent aussi pour aider les entreprises à se positionner sur des appels d’offres pour Paris 2024. Nous avons mis en place un programme d’accompagnement spécifique pour les TPE, PME et les entreprises de l’Économie Sociale et Solidaire appelé « Entreprendre 2024 » pour qu’elles soient parties prenantes des appels d’offres. Nous les aidons à se référencer sur les plateformes « Entreprises 2024 » & « ESS 2024 » qui recensent l’ensemble des marchés.. Travailler à la Caisse d’Épargne, c’est l’assurance d’être engagé dans cet élan collectif majeur. »
#Souvenird’EDHEC
« À l’école, j’ai eu la confirmation que les aventures collectives me procuraient mes plus grandes satisfactions étaient collectives. Je garde en mémoire la campagne électorale et notre victoire pour gérer le bureau des sports durant un an. J’y ai appris la gestion de projets, de planning, la communication… En grand passionné de rugby, je me souviens également de notre victoire contre l’équipe de l’École Centrale. Mention spéciale pour mes professeurs en stratégie d’entreprise Emmanuel Métais, et Denis Dauchy et ma professeur d’anglais Christine Coisne. »
#EngagéVolontaire
« Je suis très attaché à rendre ce que la vie m’a donné. L’engagement qui m’a le plus enrichi c’est Vive les vacances, une association à but social de l’EDHEC qui permet à 120 enfants des centres sociaux de partir une semaine en vacances à la mer. En tant que vice-président et secrétaire général, je négociais avec les collectivités locales, les entreprises et les rotary club pour bénéficier de subventions ou de dons et ainsi boucler le budget. J’ai un souvenir ému également du festival de musique Le père Noël est il un rockeur ? organisé avec une autre association de l’école. Le pitch ? Organiser des concerts pendant une semaine dans la métropole Lilloise et demander au public de payer sa place avec un jouet neuf. Nous en avons collecté chaque année plusieurs milliers pour les enfants des quartiers sensibles. C’était un vrai projet entrepreneurial et une bonne manière de découvrir le management et la vie d’une équipe de 40 étudiants. »
Contact : frederic.cormerois@bpce.fr