ISG International Business School : la fabrique des métiers de demain ! – L’interview de Thierry Sebagh

L’ISG : la fabrique où les étudiants apprennent à réinventer les métiers, les secteurs, les entreprises, ici et ailleurs. Ils font naître de nouvelles idées de business et bousculent les marchés internationaux. Mais quel est donc ce « je-ne-sais-quoi » en plus des ISG ? Réponse de Thierry Sebagh, Directeur général de l’ISG International Business School. 

ISG, la fabrique des métiers de demain – L’interview de Thierry SebaghDepuis quelques années, l’ISG International Business School a initié une profonde transformation : nouveaux programmes, focus sur les nouvelles technologies, locaux adaptés aux nouvelles pédagogies… Une école transformée mais dont l’ADN demeure intact : l’entrepreneuriat, la créativité et l’audace.

Le secret de la réussite des ISG ?

Leur agilité entrepreneuriale, leur capacité à improviser et à s’adapter, leur intelligence relationnelle et leur intuition des business de demain. « Nos étudiants sont préparés à imaginer et déployer l’impossible, quelle que soit la situation ou la difficulté. Les ISG sont des débrouillards ! » assure Thierry Sebagh. Les réussites de ses alumni attestent de la vitalité de la business school, classée 4e école française du « Who’s Who », l’annuaire des personnalités qui comptent en France (Palmarès Challenges 2018). Parmi eux : Franck Riester – promo 96 (Ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité), Cyril Chiche – promo 95 (cofondateur & PDG de Lydia), Cerise Calixte – promo 12 (voix française du film Disney Vaiana), Anne-Sophie Pic – promo 92 (cheffe cuisinière et maître restauratrice)…

Une école tournée vers le monde…

« Ils sont partout… les ISG ! En politique, dans la presse, dans le luxe, dans les banques, en France comme à l’international » était le début du discours du directeur lors de la remise des diplômes en 2019. L’ISG est d’ailleurs connue pour sa dynamique internationale. L’école offre plus de 160 destinations dans près de 60 pays, pour offrir à chaque étudiant une expérience internationale en phase avec son projet.

… et vers les autres !

En parlant de projet, « Planète Solidaire » est venue renforcer l’engagement de l’école aux côtés des entreprises et associations confrontées à la crise sanitaire et économique. « Comment apporter notre aide ? » se souvient s’être demandé Thierry Sebagh avec la communauté de l’ISG. En mars 2020, 1 000 étudiants ont donc créé des systèmes de click & collect, digitalisé la communication et intensifié la présence des commerçants sur les réseaux sociaux. Un an plus tard, pour la deuxième édition de « Planète Solidaire », l’ISG réitère l’expérience avec les écoles EPITA et ESME Sudria auprès des acteurs des secteurs en tension : tourisme, restauration, culture et transport. Au total : 2 000 étudiants mobilisés en 2021.

Parcours à la carte

Pour garantir l’employabilité de ses diplômés, l’ISG travaille avec les écoles du Groupe IONIS, dont elle fait partie, pour hybrider les programmes. Chaque étudiant a donc la possibilité de construire son parcours selon ses aspirations, ses ambitions et ses passions. Deux nano-certificats en « cybersécurité » et « chatbots pour le business », labellisés CGE et construits avec l’école EPITA, sont par exemple accessibles de droit aux étudiants en 3e et 4e années du Programme Grande Ecole (PGE). « Ces formations de 80 heures sont de vrais atouts quand il faut expliquer à un recruteur ce que l’on sait vraiment faire : détecter une cyberattaque, en évaluer les risques, créer et déployer un chatbot, améliorer l’interface et l’expérience utilisateur d’une application ou d’un site… ». Quatre autres nano-certificats sont aussi disponibles.

>>> A découvrir : deux nouvelles formations proposées par l’ISG depuis la rentrée 2020

Studio 45 : la nouvelle pépite de l’ISG

Situé au 45 rue Spontini (75016), ce bâtiment incarne l’esprit entrepreneurial que l’école entend insuffler à ses étudiants et qui repose sur une chose aussi révolutionnairement simple que le carré de 4, comme dans les trains, avec prises électriques, grands écrans et machines à café. On oublie presque qu’on est dans une école !