Sandrine Jacob Leal ICN Business School
Sandrine Jacob Leal © ICN Business School

« J’ai tout de suite trouvé ma place à l’ICN en tant que professeure »

Sandrine Jacob Leal est professeure et responsable du département finance, audit, comptabilité et contrôle d’ICN Business School. Elle raconte un match immédiat et durable avec une institution ouverte, au sein de laquelle elle peut valoriser avec bonheur sa discipline, la finance, autant en recherche qu’en enseignement.

 

Vous et l’ICN ?

Je suis arrivée en septembre 2011. Lors des entretiens, j’ai immédiatement trouvé ma place. J’ai trouvé du sens à ce que me disaient mes interlocuteurs. Je dis souvent à mes étudiants d’être attentifs à leur affinité avec ce qu’on leur dit ou les personnes lors d’un recrutement, car je l’ai vécu. Il faut parler la même langue, se comprendre pour pouvoir travailler ensemble ; envisager ce que l’on peut s’apporter mutuellement.

Quelle correspondance avec vos attentes trouvez-vous à ICN ?

Je trouve une adéquation entre mes besoins et mes aspirations en matière de recherche, en plus de l’enseignement. J’ai eu la chance d’arriver au moment où l’institution voulait se renforcer au plan académique et de la recherche. La voie qui m’a été allouée a été maintenue au fil des ans et de mes productions scientifiques.

cours ICN Business School
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Rentrée campus ICN_Artem © ICN Business School

Vous êtes aussi responsable de département ?

C’est un autre atout d’ICN. On m’a donné des responsabilités depuis janvier 2016. Je suis heureuse que l’école investisse dans mon domaine, ses professeurs et étudiants. J’ai développé la finance d’entreprise et la finance internationale depuis mon arrivée. Ce qui me plaît, c’est la variété des interactions et des publics.

« Je veux promouvoir ICN Business School au rang qu’elle mérite »

Comment faites-vous évoluer votre enseignement ?

Je l’adapte au type d’étudiant, à la taille du groupe, à l’évolution dans ma discipline, aux réactions des élèves. Je renouvelle mes contenus et mes méthodes. Mon mot d’ordre : faire participer au maximum mes étudiants. Je n’enseigne pas pour moi-même. Ma vocation d’enseignante n’est pas de faire le show. Je suis dans la transmission.

« Je ne suis pas là pour faire le show, je suis là pour transmettre »

La finance est assez technique et fait même peur ?

Je m’assure que chacun suit, comprend, apprend de nouvelles choses ; y compris ceux qui n’ont pas choisi cette voie, par exemple dans le tronc commun. C’est très gratifiant pour ceux qui initialement pensaient détester la finance y viennent, participent, se disent « Je peux comprendre ». Je leur montre que la finance ce n’est pas si dur. L’important est de faire participer, d’impliquer, d’accompagner dans l’apprentissage et la compréhension, de prendre le temps. Je tiens compte des différents rythmes, dynamiques individuelles et profils.

Vis ma vie d’étudiante à l’ICN Business School

« J’ai eu un coup de cœur pour l’ICN »

L’accompagnement des étudiants est caractéristique d’ICN ?

Oui c’est constitutif de l’esprit ICN. En début d’année, chaque nouvel étudiant a un tuteur professeur qui le suit tout au long de son cursus. J’en suis entre 5 et 10 par an pour leurs choix de stages, de cours, d’échange à l’international. Je suis la révolution de leur profil, car la transformation est incroyable sur 3 ou 4 ans. Nous nouons des relations privilégiées. Après chaque expérience ils reviennent excités à l’idée de nous raconter, d’avoir notre point de vue. Certains restent en contact une fois diplômés. Le réseau des ICN est très fort, à l‘image de la communauté dans son ensemble. De liens profonds se créent à l’école.

Quels moments permettent de créer ces liens ?

J’apprécie beaucoup le séminaire de rentrée pour les personnels. Nous sommes tous réunis pour un moment de partage, de team building. C‘est la reprise, une nouvelle année. Nous alternons ateliers et moments conviviaux. Dans le même esprit, j’aime les dîners de fin d’année en décembre et en juin. Ce sont des moments d’échanges informels où l’on découvre ce que fait chacun dans son métier, son département. Nous sommes simplement contents d’être ensemble ! Au sein de mon département, j’ai organisé un cocktail déjeunatoire pour les professeurs et les intervenants extérieurs. Ces derniers voient rarement toute l’équipe. Les retours étaient très positifs et nous allons le reconduire ! Avec l’emménagement au sein du nouveau campus Artem, je crois que chacun est vraiment privilégié de travailler dans un tel environnement.

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