Vous souhaitez devenir partie prenante d’une société plus solidaire, durable et engagée ? Devenez assureur et rejoignez la Macif, affiliée à AEMA Groupe, aux côtés de Bertrand Delignon (DEA Economie Mathématiques et Économétrie, Université Paris-Panthéon-Assas 91), Directeur IARD Macif.
Depuis près de 30 ans au sein de la Macif, Bertrand Delignon a vu le métier d’assureur évoluer pour aboutir à un rôle de partenaire de vie centré sur la relation client. « L’assureur se positionne désormais comme un acteur responsable d’un écosystème au service des assurés. Pour un jeune talent en quête de sens, les opportunités ne manquent pas. »
Accompagner, former, évoluer
En assurance en général et pour l’IARD (Incendies, Accidents et Risques Divers) en particulier, les dimensions juridiques, techniques et relationnelles des métiers de l’assurance ouvrent la voie à des parcours riches et transverses. « Nous avons des temps de formation importants, de trois mois à minima, pour nos collaborateurs en lien direct avec nos assurés, car ils doivent intégrer une forte dimension technique en complément de la dimension relationnelle du métier. Par ailleurs, notre monde bouge et nous répondons en permanence aux attentes de nos assurés en adaptant nos outils et systèmes d’information. Ces évolutions engendrent des changements importants pour les métiers et il nous faut accompagner nos équipes pour se les approprier. »
Saisir les opportunités
Le plus important dans la carrière de Bertrand Delignon ? La découverte progressive du management. Ce statisticien de formation exclusivement universitaire est alors passé du pilotage de chiffres au pilotage des hommes, et compte aujourd’hui 2 700 personnes dans ses équipes. « La première qualité du manager, c’est la remise en question. Il faut sans cesse évaluer l’impact de ses actions et essayer de discerner ce qui peut être amélioré pour soi-même et pour son collectif. La seconde qualité, c’est l’écoute. »
Le socle de la Macif ? Ses valeurs !
Une vraie révélation qui lui a permis de comprendre véritablement le monde de l’assurance. Voilà ce qu’il attend d’un collaborateur : qu’il comprenne ce qu’est l’assurance et qu’il consacre du temps pendant son parcours d’intégration à la connaissance de son environnement. C’est de cette manière qu’il donnera du sens à son métier. « J’ai mis du temps à comprendre qu’autour de moi des représentants de sociétaires, les élus, avaient un rôle clé dans la gouvernance. Ce modèle est en soi différenciant, et apporte une valeur ajoutée et du sens pour tous. Le monde mutualiste a des codes qu‘il faut comprendre pour construire son parcours dans un groupe comme AEMA (MACIF, AESIO, ABEILLE). »
Les valeurs mutualistes
L’engagement et la solidarité sont des marqueurs très forts des valeurs portées par un assureur mutualiste. À la Macif, les exemples ne manquent pas : prestation solidarité chômage, mise en place de dispositifs relationnels adaptés aux sociétaires en situation de handicap, Macif Solidarité Coups Durs… Le principe : des salariés accompagnent, conseillent et orientent concrètement les sociétaires victimes d’aléas de la vie (divorce, décès, perte d’emploi, surendettement…).
Le conseil de Bertrand Delignon
« Vous vous apprêtez à entrer dans un monde professionnel qui a tout intérêt à ce que vous y trouviez votre place. Alors, prenez des risques… et n’hésitez pas à changer de voie. » Son diplôme de mathématiques appliquées en poche, la Macif lui a ainsi permis de suivre une formation en actuariat, puis de s’orienter vers un parcours en management opérationnel sur le terrain. « Le fait d’être actuaire m’a permis d’être associé à des projets majeurs (solvabilité, tarification…) et de comprendre les enjeux économiques de l’assurance. Même si aujourd’hui les modèles actuariels sont loin de mon quotidien, ce complément de formation me permet de parler le même langage que d’autres décideurs. Soyez curieux, différents parcours et horizons vous seront offerts, mais veillez à en être toujours les acteurs ! »
Le petit truc en plus d’Assas
« Assas m’a apporté une ouverture sur des domaines qui étaient, de prime abord, éloignés du socle de ma formation à dominante statistique. Par exemple, le lien entre les modèles économétriques intégrant la raréfaction des ressources et les tensions géopolitiques récentes résonnent particulièrement avec la situation actuelle. Dans des métiers proches des chiffres, il faut être capable de prendre de la hauteur et d’en faire des outils d’aide à la réflexion. »
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