Pour la troisième année consécutive, l’ESSEC Business School se classe troisième du palmarès mondial des Masters in Management du Financial Time. Jean-Michel Blanquer, son Directeur, nous en dit plus sur les raisons du succès de cette école qui fait rimer excellence avec créativité et initiative. – Par Clarisse Watine
Comment expliquez-vous ce plébiscite international pour l’ESSEC ?
Il s’inscrit dans nos 3 objectifs stratégiques que sont l’Innovation, l’Implication et l’Internationalisation, un socle d’action impliquant l’ensemble de la communauté de l’école et que nous déroulerons jusqu’en 2020. C’est aussi le fruit d’une série d’évolutions : un corps professoral toujours plus international (6 nouveaux professeurs de 5 nationalités nous rejoignent cette année), la création de 3 nouvelles chaires pour répondre aux enjeux sociétaux et aux évolutions du marché (Modèle économique en réseaux, Digital disruption et Asset & risk management), ou un nouveau Master in Finance à Cergy et Singapour.
Il se nourrit aussi d’un réel esprit créatif ?
Le premier homme créatif est celui qui a eu idée de frotter 2 silex pour faire une étincelle. La créativité c’est créer une étincelle entre 2 choses différentes. C’est pour ça qu’à l’ESSEC nous cultivons le sens du collectif afin de frotter et de confronter les angles d’approche en encourageant la pluridisciplinarité.
« L’esprit ESSEC c’est cultiver la créativité et la liberté et aimer celles des autres. »
Vous stimulez d’ailleurs cette créativité par des initiatives pédagogiques novatrices ?
L’Imagination Week est emblématique de l’esprit ESSEC. C’est une occasion de stimuler la créativité en projetant nos étudiants dans le futur en conjuguant une dimension prospective très technologique et une dimension artistique. Un esprit qui imprègne aussi profondément le programme Imagine ton cours. Le concept est simple : un professeur expose sa passion pour son domaine de recherche à des étudiants qui donnent leur vision du cours qui pourrait en découler. Une démarche vertueuse qui permet même parfois de faire émerger des thématiques émanant des étudiants eux-mêmes comme l’organisation et le management d’événements.
« A l’ESSEC, rien n’est impossible » : mythe ou réalité ?
Notre volonté : être au service de la société. C’est pour cela que l’ESSEC a à coeur de libérer la puissance de création et d’action de ses étudiants bien sûr, mais aussi de ses professeurs, via nos 7 centres d’excellence notamment.
Si vous deviez déclarer votre flamme à l’ESSEC ?
La meilleure chose qu’on puisse souhaiter à un jeune c’est d’être étudiant à l’ESSEC !
Qu’est-ce qui fait de vous un Directeur heureux ?
Mon premier bonheur est bien sûr ce lien avec la jeunesse et cette immersion dans une grande institution de recherche qui m’immergent au quotidien dans la créativité. Je suis aussi inspiré par cet « esprit pionnier » inscrit au fronton de l’école et qui rappelle à chacun qu’il évolue dans une maison habitée par la construction collective et l’esprit d’équipe.
L’ESSEC …
• En 3 mots ? Innovation, Implication, Internationalisation.
• C’est fait pour qui ? Pour tous ceux qui ont l’esprit pionnier.
• Ca mène à quoi ? A tout ! A l’entreprise bien sûr mais aussi de de plus en plus à la création d’entreprise et à une grande diversité de carrières, ce dont je suis très fier.
• Sa priorité N°1 ? L’internationalisation sur un mode multipolaire. Etre présent sur chaque continent tout en respectant les différentes cultures, rechercher la non standardisation dans la mondialisation.
S’il ne fallait donner qu’une bonne raison de rejoindre l’ESSEC ?
C’est un des endroits les plus exceptionnels au monde pour trouver sa voie. Nos étudiants sont tout simplement heureux d’évoluer dans une école qui a réussi le cocktail de l’effort, du bonheur et de la vie de campus. C’est une chance incroyable d’étudier ici : moi je rêverais d’être étudiant à l’ESSEC !
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Retrouvez le témoignage de Karoline Strauss et Nicolas Glady, professeurs à l’ESSEC Business School
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