Institutions parmi les institutions, Polytechnique et Mines Paris s’entourent des meilleures pour aller toujours plus loin. Grâce à l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris) et à PSL, les deux écoles poursuivent, renforcent et nourrissent leurs objectifs et leurs ambitions en France et au-delà.
Fortes de leur expertise et de leur réputation, l’Ecole polytechnique et Mines Paris sont des parties prenantes de taille dans ces deux pôles d’excellence. Depuis sa création en 2019, IP Paris et ses cinq écoles d’ingénieurs fondatrices (Polytechnique, ENSTA Paris, ENSAE Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis) s’emploient ainsi « à incarner l’excellence de l’enseignement supérieur et de la recherche français. » En seulement trois ans, IP Paris s’est d’ailleurs imposé comme un institut de sciences et de technologies de rang mondial et une des institutions scientifiques et technologiques à la croissance la plus rapide en Europe.
Parallèlement, le périmètre de l’Université PSL couvre de très nombreuses disciplines, de l’art à l’ingénierie en passant par les sciences « dures » et les SHS, grâce à ses 11 établissements : Mines Paris bien sûr, mais aussi le Collège de France, le Conservatoire National Supérieur d’art dramatique, l’Ecole nationale des chartes, l’Ecole nationale supérieure de Chimie de Paris, l’ENS, l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, l’ESPCI, l’Institut Curie, l’Observatoire de Paris et Dauphine. Elle bénéficie également du soutien de trois organismes de recherche : le CNRS, l’Inria et l’Inserm.
Au top des classements mondiaux
Des positionnements uniques qui leur permettent d’occuper les plus hautes marches des podiums internationaux. PSL s’impose ainsi comme la première best young universities selon le classement du THE 2022. 38e au classement de Shanghai, PSL figure également dans le Top 50 mondial des universités du THE et du QS pour la quatrième année consécutive. En progression de six places par rapport à l’édition 2021, elle se maintient dans le Top 50 mondial et le Top 10 des universités européennes, conservant ainsi sa place de première université française. Une excellence scientifique qui brille également grâce aux 28 Prix Nobel sortis des rangs de l’Université, dont 11 en physique, 5 en chimie, 4 en littérature, 4 en physiologie/médecine et 4 en économie. Sans oublier les 79 Molière et 50 César reçus par ses diplômés !
Pour sa première entrée, IP Paris se classe quant à lui directement à la sixième place du classement 2022 des jeunes universités du Times Higher Education qui recense les meilleures institutions du monde ayant 50 ans d’existence ou moins (400 institutions dans 68 pays). Il se distingue ainsi sur plusieurs indicateurs de performance : enseignement/environnement d’apprentissage, recherche (volume, revenus et réputation), citations (influence de la recherche), ouverture internationale (personnel, étudiants et recherche) et revenus industriels.
S’ouvrir pour se nourrir
Des classements qui récompensent aussi la volonté commune de ces établissements d’utiliser cette ouverture entre leurs champs disciplinaires pour former les meilleurs. « Je suis convaincu que PSL nous offre une richesse incomparable. Nous partageons avec ses 10 autres établissements membres une forme de quête noble d’excellence qui permet à nos étudiants de se confronter à d’autres domaines (parfois éloignés de leur formation) et ainsi d’enrichir cette notion d’ingénieur généraliste que nous défendons. Grâce à PSL, nous pouvons leur offrir encore plus de trajectoires professionnelles différentes mais toujours aussi pertinentes. Le monde de demain aura en effet besoin d’ingénieurs-architecte et d’architectes-ingénieurs, d’ingénieurs capables d’adresser les enjeux de la santé numérique ou des matériaux de demain » donne pour exemples Frédéric Fontane, Directeur de l’enseignement de Mines Paris. Cette volonté d’ouverture, IP Paris la partage, comme en atteste son attention particulière portée à 12 domaines de recherche : Environnement & Climat, Énergie, IA & Science des données, Réseaux & IoT, Simulation numérique, Cybersécurité, Défense, Géopolitique & Stratégie, Technologies quantiques, Matériaux innovants & Nanotechnologies, Plasmas & leurs utilisations et enfin, Ingénierie biomédicale.
Ensemble on est plus forts…
Ces pôles d’excellence permettent également à Mines Paris et à l’X de porter des sujets à une échelle supérieure. « Même si je suis fier qu’on nous compare au MIT, il nous manque 30 milliards pour atteindre l’ampleur de ce mammouth ! Mais cet effet de taille que nous confère PSL nous permet de donner un écho plus fort aux questions de diversité sociale ou de parité, absolument centrales pour Mines Paris, rappelle Frédéric Fontane avant d’évoquer l’influence de PSL à l’international. Quand on sort 200 diplômés par an on ne peut pas se comparer sur la scène mondiale à Harvard et ses milliers de diplômés chaque année. Or, PSL nous offre cette visibilité internationale et cette possibilité d’ouvrir notre recrutement. »
Et plus innovants !
La taille et la pluridisciplinarité de ces deux pôles d’excellence leur permettent aussi d’innover sans pareil. PSL est ainsi partie prenante dans PariSanté Campus, le « berceau de la e-santé de demain ». Inauguré le 14 décembre 2021, celui-ci est porté par cinq acteurs majeurs (PSL, l’Inserm, INRIA, l’ANS et le Health Data Hub), des acteurs privés, startups, entreprises, industriels, associations et fédérations de professionnels. « En regroupant sur un même lieu toutes les expertises et disciplines, l’État se dote d’un outil puissant pour mettre les données de santé au service de la recherche et de l’enseignement. Et donc au service des patients » déclarait Alain Fuchs, Président de l’Université PSL lors de l’inauguration.
Côté innovation, IP Paris n’est pas en reste ! « Grâce à la création de centres interdisciplinaires (pour l’IA & Data Analytics et l’Environnement) et de partenariats avec des acteurs privés et publics dans des secteurs tels que la santé ou les lasers intenses, l’Institut ne cesse de prospérer pour l’excellence de son enseignement et sa recherche. » Pour preuve, il a signé le 1er février 2022 un partenariat avec le CNRS et Thales pour la création du laboratoire commun HERACLES³ (Hautes Energies pour la Recherche en ACcélération Laser d’Electrons et Sources Secondaires) pour la recherche et le développement des lasers intenses. IP Paris est également partie prenante du Paris Saclay Cancer Cluster (PSCC) « un projet unique en Europe par sa taille et son envergure internationale, qui positionnera la France parmi les leaders mondiaux de la transformation de la science en valeur dans le domaine de la cancérologie. « Le PSCC a pour ambition de réunir sur un même territoire dans le sud de Paris des expertises qui vont de la biologie à la médecine, en passant par la bio-informatique et l’utilisation de l’intelligence artificielle, de manière à découvrir les médicaments de demain qui vont transformer la vie des patients atteints de cancer » déclarait d’ailleurs Eric Vivier, Président de la l’association Paris Saclay Cancer Cluster.
PSL en chiffres
17 000 étudiantes et étudiants dont 2/3 en master-doctorat
2 900 enseignants-chercheurs
140 laboratoires
20% d’étudiantes et étudiants internationaux (40% en doctorat)
50 start-up créées chaque année
70 brevets déposés / an
3 000 partenaires industriels
28 Prix Nobel
Et même 79 Molière et 50 César !
IP Paris en chiffres
8 000 étudiants (dont 1 500 en Master)
35 % d’étudiants internationaux
14 mentions de Master
30 laboratoires de recherche
40 chaires d’enseignement et de recherche
1 000 doctorants
2 500 publications / an
1 000 enseignants-chercheurs et chercheurs
5 principaux partenaires pour la recherche : le CNRS, le CEA, l’INRIA, l’INSERM et l’ONERA