Rejoindre un des leaders de la restauration collective qui fait de l’éducation au mieux manger son crédo depuis 30 ans, c’est ce que vous propose Damien Pénin (Université Paris Dauphine-PSL 01), Directeur Général Elior Enseignement & Santé.
« Dans le Top 3 des leaders mondiaux de la restauration collective et des services, Elior nourrit chaque jour 1,4 million de personnes en France dans le cadre du travail, de l’enseignement, de la santé et du loisir » introduit Damien Pénin, Directeur Général Elior Enseignement & Santé. « En tant que restaurateur de référence, Elior a des enjeux de responsabilité considérables en termes de sécurité alimentaire, d’équilibre des repas et de qualité des produits. »
Une stratégie tournée vers l’innovation
Le groupe a toujours beaucoup misé sur l’innovation, qui fait partie de ses valeurs. Le développement d’outils digitaux innovants a, par exemple, permis d’améliorer la traçabilité des produits utilisés dans ses repas. « Nous avons également déployé l’affichage du Nutriscore sur tous nos menus, afin de contribuer aux objectifs de santé publique comme la prévention de l’obésité, l’équilibre alimentaire et la meilleure nutrition des élèves dans l’enseignement. Nous sommes le seul groupe de restauration collective à proposer cela. »
Proximité et ancrage territorial
Pour Elior, le respect des produits, la saisonnalité et l’ancrage territorial sont des préoccupations constantes. « Nous avons créé 12 bassins régionaux. En se substituant aux centrales d’achats, nous travaillons en direct avec des prix verrouillés auprès des agriculteurs français. Aujourd’hui, nous utilisons par exemple 100 % de lait français pour tous nos yaourts, avec une logistique centralisée pour réduire l’empreinte carbone de nos approvisionnements. » Loin des a priori, la restauration collective est donc aujourd’hui un secteur qui fait sens, de l’alimentation des enfants dès le plus jeune âge dans les crèches jusqu’aux personnes âgées dans les EHPAD.
Faire très vite confiance aux jeunes
« La restauration n’est pas un secteur attractif pour les jeunes diplômés. Moi-même, je l’ai découvert à 35 ans » regrette Damien Pénin. Et d’ajouter : « pourtant, il est possible d’y construire de beaux parcours de carrière. Chez Elior, nous faisons très vite confiance aux jeunes. Le mentorat inversé et le tutorat permettent de former des binômes intergénérationnels très efficaces : les anciennes générations maîtrisant les aspects opérationnels et les jeunes diplômés apportant leur maîtrise de l’IT, leurs nouveaux modes de pensée et le fonctionnement en tribu, très en vogue. »
Support ou opérationnel, le choix est large
A vous de choisir entre les fonctions supports au siège (contrôle de gestion, community management, marketing…) ou bien des fonctions plus opérationnelles, comme Responsable de site. La rapide responsabilisation des jeunes recrues permet ensuite d’accéder, en trois ans, à un poste de Directeur d’agence et, en cinq ans à celui de Directeur régional. Et pour les profils à haut potentiel, un cursus d’exécutive manager en 18 mois leur est proposé dès la sortie d’école.« Dans tous les cas, passer par le terrain est une vraie valeur ajoutée pour évoluer, cela offre une courbe d’apprentissage rapide et permet d’être plus vite opérationnel. »Parmi les qualités recherchées : la maîtrise des outils digitaux, le pilotage de projet et la gestion du changement, « mais surtout la capacité à évoluer au sein d’un collectif, à se remettre en cause et à faire preuve d’agilité et d’adaptabilité, car nous sommes un métier de services. »
Chiffres clés
Création en 1991
CA : 3,7 milliards €
2 300 sites de prestations en France
1,4 million de convives nourris chaque jour
Le saviez-vous ?
Elior recrute massivement en prévision du prochain départ en retraite de 25 % de ses collaborateurs. Fonctions supports ou opérationnelles, CDI ou alternance, il n’y en a pour tous les goûts. L’important : se sentir bien dans la tribu Elior !
Mon Dauphine
« Cette formation a été pour moi un accélérateur de carrière, elle m’a appris à prendre des décisions engageantes. De plus, il y a une vraie vie après Dauphine et son réseau est très actif. »