"Proud to be EDC" : le plan stratégique de l'EDC Paris Business School pour accompagner ses étudiants
"Proud to be EDC" : le plan stratégique de l'EDC Paris Business School pour accompagner ses étudiants

« Proud to be EDC » : EDC Paris Business School met le cap sur 2022

A mi-parcours du plan stratégique « Proud to be EDC 2022 », William Hurst, Directeur Général d’EDC Paris Business School est revenu le 26 janvier 2021 sur le bilan et les perspectives de l’école de management qui a fait du « leadership entrepreneurial » sa marque de fabrique.  

 

Plus ancienne école 100 % privée des écoles de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) l’EDC est « fière de son histoire, de son esprit pionnier et de ses valeurs ». Un ADN que partagent les écoles du groupe : EDC Paris Business School et Sup de Luxe (2 000 étudiants, 18 500 alumni, 3 campus à Paris et 2 à l’étranger) et Sports Management School (400 étudiants, 1 000 alumni, 5 campus). Un esprit pionnier qui sera central pour l’EDC alors même que l’établissement entame la seconde phase de son plan stratégique sous la baseline « Proud to be EDC », mettant ainsi en avant la fierté d’appartenance de sa communauté.

Pour poursuive son développement, l’EDC souhaite miser sur quatre axes de différenciation. Tout d’abord, son statut de « grande école généraliste internationale leader de l’alternance et de la pédagogie par projet ». Ensuite, sur sa nouvelle signature DIVE, sa forte proximité étudiants / entreprises et son rayonnement dans l’industrie du luxe et de la création d’entreprise ».

DIVE, plus qu’une signature pédagogique, une « boussole »

L’EDC voit en effet dans sa nouvelle signature pédagogique DIVE une « boussole qui détermine sa philosophie et incarne ce que doivent retenir les leaders de demain issus de ses rangs » insiste William Hurst. Une signature emprunte d’entrepreneuriat bien sûr, mais aussi « d’humanisme 3.0, de transdisciplinarité, d’innovation, de digital natives, de développement des softskills, de performance économique et sociétale, de développement de nouveaux produits et business models ».

Celle-ci va se concrétiser par la création d’un passeport de compétences pour accompagner le parcours d’apprentissage et le parcours en stage ou alternance des étudiants, mais aussi de cours obligatoires (RSE, enjeux climatiques, transformation digitale, codage, géopolitique, management interculturel, entrepreneuriat / intrapreneuriat, pédagogie par projet…) et de formation diplômantes expertes via une offre de MSc.

Les 5 campus de l’EDC

Pour mener à bien ses objectifs, l’EDC est aujourd’hui doté de cinq campus. Trois à Paris : dans le quartier de La Villette pour ses programmes de luxe et sport management, dans le 7e arrondissement pour la formation continue en management du luxe et la Tour Atlantique à Puteaux, où les nouveaux locaux devraient être inaugurés à la fin du premier semestre 2021. Sans oublier Barcelone et Lausanne.  

EDC Paris Business School met le cap sur 2022

Le mot d’ordre de l’EDC pour poursuivre son développement ? « Consolider et rayonner ! » annonce son directeur. Visant les 2 800 étudiants et les 26 M€ de budget à horizon 2022, l’établissement entend « poursuivre la montée en gamme du PGE (via des tracks d’excellence, de nouveaux doubles diplômes avec des écoles d’ingénieurs, des bourses d’entrée pour les mentions Bien et Très bien au baccalauréat) et l’intégration réussie des nouveaux bacheliers avec un partenariat innovant avec les cours Legendre ». L’EDC entend également atteindre un taux de 60 %  d’alternants parmi les étudiants du PGE en cycle master et les étudiants MSc.

>>>> « Mon campus idéal ? Anywhere, anytime, any device » – Découvrez l’interview 100 % prospective de William Hurst, directeur général d’EDC Paris Business School

Côté académique, la signature d’un partenariat avec une institution de premier plan en innovation et entrepreneuriat est prévue. Au programme également : « l’obtention de trois nouveaux labels de la conférence des grandes écoles (MSc) et de cinq nouveaux titres RNCP (Niveau 6 & 7). Sans oublier d’être en position de décrocher l’accréditation AACSB début 2024. 

Une école de management doit marcher sur deux pieds. Si les accréditations sont fondamentales, elles ne doivent pas emprisonner notre stratégie et nos valeurs mais, au contraire, les servir. C’est un moyen d’accélérer notre développement, pas une fin en soi.

Le présentiel augmenté pour faire face à la crise Covid

Des développements qu’il va falloir conjuguer avec les conséquences de la Covid. Pour faire face à la crise, l’EDC peut, depuis le premier confinement, compter sur ses partenariats stratégiques (avec Blackboard notamment) pour assurer l’intégralité de ses cours en distanciel. Même si les étudiants expriment une véritable envie de revenir en présentiel. Ainsi, comme l’a autorisé le Gouvernement, l’établissement a rouvert cette semaine pour les 1A de Bachelor et de PGE. Et avec succès : 92 % des étudiants concernés sont revenus sur les campus. « Un programme présentiel a vocation à rester présentiel mais désormais il faudrait parler de présentiel augmenté. Nous allons d’ailleurs mettre en place des salles immersives afin de nous servir du digital pour développer un présentiel plus intelligent » prévoit William Hurst. Côté stage et alternance, le DG de l’EDC est aussi confiant, le taux d’étudiants pourvus aujourd’hui étant similaires aux années précédentes. Mais une incertitude demeure encore quant à l’insertion de la dernière promo.

EDC Paris Business School : ça coûte combien ?

Des développements qui ont bien sûr engendré une hausse des coûts de fonctionnement. Mais « nos frais d’inscription n’augmenteront pas plus que prévu, nous allons multiplier par deux le montant des bourses et, dès la rentrée, nous allons mettre en place une bourse avec les anciens. La période est difficile oui, mais arrêtons de dire que les écoles de management sont réservées à « une élite financière », ce n’est pas vrai. Nous mettons en place des accords avec les banques, nous favorisons l’alternance et mettons en œuvre tous les dispositifs nécessaires pour permettre aux étudiants de couvrir les frais tout au long de leur scolarité » insiste William Hurst.