PSB INSIDE : dans les coulisses de Paris School of Business

Grande école européenne de management, comment Paris School of Business fait-elle la différence sur un marché aussi foisonnant que celui des business schools en France ? Armand Derhy, son directeur, Valérie Pasturel, directrice du PGE et Alexis Secher, étudiant en Master 1 Achats et Supply Chain vous dévoilent tous ses secrets.

 

La PSB’s touch

Armand Derhy

Fondée intramuros il y a 40 ans, PSB dispose historiquement d’un très fort réseau de grandes entreprises et de PME en région parisienne. En prenant le nom de PSB en 2015 (elle s’appelait auparavant ESG Management School) elle a décidé de capitaliser sur Paris et de résolument s’imposer comme une metropolitan business school. Une stratégie gagnante. « Alors que nous comptions 10 % d’étudiants internationaux en 2014, en 2018 nous avons déjà atteint l’objectif de 25 % fixé pour 2020. Aujourd’hui il y a 1 000 internationaux parmi nos 4 000 étudiants », indique son directeur Armand Derhy. Autre point fort de l’école, son appartenance à Studialis Galileo, premier groupement d’établissements privés en Europe et second au niveau mondial. Une structure mêlant management et création permettant « de proposer des double-diplômes avec le Cours Florent, Strate Ecole de Design, la Web School Factory, l’Institut Marangoni… dans une optique de décloisonnement des savoirs, voire même de choc des cultures ! »

Des expériences qui changent la vie

Qui dit école européenne dit forcément expérience à l’international ! A PSB, la troisième année se déroule entièrement à l’étranger dans un des 70 établissements partenaires de la business school à ce stade du cursus. Pour Alexis, le choix a été clair : l’Irlande lui ouvrait grands les bras ! Il en garde d’ailleurs un souvenir mémorable. « Je suis parti en mode immersion totale pour revenir complètement bilingue. Entre ma vie en coloc, l’ambiance au top et les paysages dignes de Game of Thrones, je n’ai pas été déçu ! C’était vraiment une expérience incroyable qui m’a permis de mieux me connaître. »

A PSB les élèves sont chouchoutés !

Portée par l’ambition « d’aller au-delà du savoir », PSB met le paquet sur l’accompagnement de ses étudiants. Le parcours U Discover en est la parfaite incarnation. Visant à développer les compétences personnelles, relationnelles et culturelles des étudiants, il leur permet de se perfectionner sur des thématiques hors business et management, dont les fameuses soft skills tant plébiscitées par les entreprises.  « Quand on entre dans une école, on a deux objectifs : s’inscrire dans une formation de qualité et trouver un job. Si les formations de qualité sont au rendez-vous dans toutes les business schools, y trouver les outils vraiment utiles pour décrocher un job est moins systématique », insiste Armand Derhy. Un parti-pris stratégique qui se transforme bel et bien en réalité pour les élèves. « Entré à PSB sans objectif professionnel, j’y ai appris à prendre les bonnes décisions. Après le lycée je pensais me connaître mais je me trompais. C’est à l’école que j’ai trouvé les clés pour dénicher le job qui ME correspond et pour avoir le sourire quand j’irai au bureau tous les matins. PSB m’a donné des ambitions et c’est grâce à elle que je suis devenu acteur de ma vie », indique Alexis.

Un échange win win avec les élèves

Un accompagnement doublé d’une véritable écoute des besoins et des aspirations des élèves. « Nous organisons tous les semestres des comités pédagogiques où nous échangeons avec eux sur les enseignements, les professeurs, le programme, la vie de l’école. Nous animons aussi des conseils de la vie associative où nous discutons des évènements qu’ils organisent sur le campus (petit-déjeuner surprises, distribution de burgers McDo le midi, activités thématiques à Halloween ou à Noël…). Nous sommes aussi présents au WEI, à la semaine de ski, au gala… pour montrer notre cohésion avec les étudiants et discuter avec eux dans un cadre sortant de l’académique pur », ajoute Valérie Pasturel.

Le doyen de PSB, Armand Derhy, Valérie Pasturel, Directrice du PGE, et Alexis Secher, étudiant, nous dévoilent les coulisses de leur Paris School of Business à eux !

YouTube

En chargeant cette vidéo, vous acceptez la politique de confidentialité de YouTube.
En savoir plus

Charger la vidéo

PGRpdiBjbGFzcz0iX2JybGJzLWZsdWlkLXdpZHRoLXZpZGVvLXdyYXBwZXIiPjxpZnJhbWUgdGl0bGU9Ik1vbmRlIGRlcyBHcmFuZGVzIMOJY29sZXMgZXQgVW5pdmVyc2l0w6lzIEluc2lkZSBQYXJpcyBTY2hvb2wgb2YgQnVzaW5lc3MiIHdpZHRoPSI4MDAiIGhlaWdodD0iNDUwIiBzcmM9Imh0dHBzOi8vd3d3LnlvdXR1YmUtbm9jb29raWUuY29tL2VtYmVkL3hLMjFWNGp5V0VVP2ZlYXR1cmU9b2VtYmVkIiBmcmFtZWJvcmRlcj0iMCIgYWxsb3c9ImFjY2VsZXJvbWV0ZXI7IGF1dG9wbGF5OyBjbGlwYm9hcmQtd3JpdGU7IGVuY3J5cHRlZC1tZWRpYTsgZ3lyb3Njb3BlOyBwaWN0dXJlLWluLXBpY3R1cmUiIGFsbG93ZnVsbHNjcmVlbj48L2lmcmFtZT48L2Rpdj4=

 

A fond dans les assos ! A PSB on est engagé. Parce qu’il est persuadé qu’on apprend autant, voire plus, en cours qu’hors du cadre scolaire, Armand Derhy demande à tous les élèves de devenir membres d’une des 15 associations de l’école. « Une tête bien faite c’est bien, mais cela ne suffit pas. S’engager dans l’associatif permet de se responsabiliser tout en apprenant. Une soirée ce n’est pas que de la musique et des copains, c’est aussi un budget, un plan de com’ et un business plan ! » Et en termes de responsabilités, on peut dire que l’école ne fait pas les choses à moitié. Avec 1 M€ de budget annuel (250 000 € rien que pour la semaine d’intégration) on est loin de l’amateurisme. Responsable de la vie associative de l’école depuis quelques mois, Alexis en est la preuve. « On peut décider de se laisser porter ou de faire vivre la vie associative. Moi j’ai décidé de la faire vivre. Après une deuxième année en tant que VP de l’asso organisatrice de la semaine au ski (670 participants quand même), j’encadre aujourd’hui les 15 associations de PSB. A 21 ans je gère 130 personnes pour un réseau de 2 575 étudiants, c’est assez oufissime ! »

A PSB on est aware Pas question de se limiter au business et au management pur. Pour PSB, on apprend dans la transversalité. Par exemple, les élèves sont tenus de participer chaque année à 5 actions de type conférences, ateliers métiers, afterworks… (soit 25 à la fin de leur formation) pour valider leur diplôme. L’école capitalise également sur la mise en pratique. « En parallèle des cours de Droit, nous proposons par exemple aux élèves d’assister à des audiences au tribunal. Les cours ont quand même plus d’impact lorsqu’on en voit les applications dans la vraie vie », insiste Armand Derhy. Les élèves de PSB profitent également des formations dispensées par les autres établissements de Studialis Galileo : ateliers de théâtre, de prise de parole en public ou de leadership avec le Cours Florent et même design thinking aux côtés d’un ancien styliste de chez Alexander Mc Queen avec Strate Ecole de Design.

 THE projet 2018/19 Si ParcourSup et les accréditations comptent bien sûr parmi les priorités du directeur de PSB, côté pédagogie, il a fait le choix de mettre plus que jamais l’accent sur les soft skills. « Au regard de l’actualité, nous avons décidé d’insister cette année sur le développement de leur esprit critique avec le cycle Information, médias et désinformation. L’objectif : les armer contre les fake news. Des intervenants de marque seront au rendez-vous : Clément Weill Raynal (à l’origine de la médiatisation du « Mur des Cons »), Philippe Val ou encore Manuel Valls », indique-t-il.

En juin PSB aura réussi si… « Elle réussit l’expérience étudiant, l’insertion professionnelle de ses diplômés et la prochaine campagne car… il n’y a pas de bonne école sans étudiant ! » conclut Armand Derhy.