Qui sont les ingénieurs de Télécom Paris en 2025 ?

IA, big data, machine learning, IoT, cloud computing, informatique quantique, réseaux mobiles 5G, blockchain, cybersécurité… et même économie, sociologie et design du numérique : présente sur toute la verticale du secteur, Télécom Paris a toutes les cartes en main pour former l’ingénieur systémique du numérique que recherchent tant d’entreprises aujourd’hui.

De fait, l’école ambitionne d’agir sur tous les fronts pour répondre à l’objectif gouvernemental d’atteindre les 100 000 personnes formées au numérique chaque année. La formation initiale bien sûr, mais aussi la formation exécutive (programmes longs et programmes courts à la carte, scindés par blocs de compétences). Sans oublier l’international, avec un focus sur l’Afrique du Nord (où le niveau en mathématiques, en sciences et technologies est très bon) notamment. Autre cheval de bataille de l’école : la diversification de ses viviers. Télécom Paris compte en effet parmi les premières écoles du Top 10 à avoir affiché ses ambitions en matière de mixité et de diversité sociale : 30 % de boursiers et 30 % d’étudiantes en 2030. Elle est ainsi déjà passée de 17 % d’étudiantes en 2018 à 23 % en 2023. De quoi œuvrer à la timide – mais certaine ! – féminisation des équipes numériques.

Ingénierie, management et sciences sociales : ça matche !

Cette diversification se déploie également à travers l’hybridation des compétences. Dernier projet en date pour Télécom Paris : son nouveau double diplôme de master avec Sciences Po, dont la première promotion fera sa rentrée en septembre 2025. L’objectif ? Doter ses diplômés d’une triple expertise en sciences sociales, management et ingénierie. A l’issue de cette formation en trois ans, ils se verront délivrer le diplôme de Sciences Po et le diplôme d’Ingénieur de Télécom Paris. Un double profil qui les ouvrent à des postes « en agence ou cabinet de conseil spécialisé sur les secteurs du numérique et des nouvelles technologies, au sein de banques d’investissement, de fonds de capital-risque et de private equity spécialisés dans la tech, mais aussi au sein des grandes entreprises (déploiement des stratégies digitales, business analyst), dans le déploiement de l’intelligence artificielle et sa régulation ou encore, dans l’entrepreneuriat » expose l’école dans un communiqué.

Une école qui entreprend

Si 100 % des diplômés ingénieurs de Télécom Paris ayant un emploi l’ont trouvé moins de six mois après la sortie de l’école, celles et ceux qui ont une âme d’entrepreneur ne sont pas en reste ! Télécom Paris compte 550 entreprises actives depuis 1999, soit trois créations chaque mois, plus de 6 000 emplois générés et 1 250 millions d’euros levés auprès de partenaires financiers. Envie d’en savoir plus sur les projets incubés à Télécom Paris ? Retrouvez-les ici.

Une mine pour l’enseignement supérieur 

Deux diplômés de Télécom Paris viennent d’être nommés à la tête d’écoles d’ingénieurs prestigieuses : Godefroy Beauvallet (promo 97) à la direction générale de Mines Paris-PSL et Marie-Hélène Baroux (promo 92) à la direction générale de l’ISAE-Supaéro, première femme à occuper ce poste. Le nouveau directeur de Télécom Paris (en cours de nomination) sera-t-il lui aussi issu des rangs de l’école ? Stay tuned !