Le plan de relance de 100 Md€ annoncé par le Gouvernement prévoit de flécher 7.1 Md€ vers le numérique, un secteur qui embauche 2.4 fois plus que les autres. Alors que près de 200 000 postes seront à pourvoir dans le digital d’ici 2022, les écoles du numérique innovent en 2021 pour former les pros dont a besoin le « monde d’après ». Coup de projecteur.
Cybersécurité, Big Data et machine learning 100 % online à Efrei Paris
Pour former les futurs experts de la cybersécurité, Efrei Paris propose une formation 100 % en ligne en dernière année de son PGE. Deux partenaires d’exception à ses côtés : Microsoft France et Airbus CyberSecurity. Un cursus professionnalisant mettant au programme : Forensics Investigation, Test d’intrusion, Cloud Security, Cloud Certification, Analyse et vulnérabilité du logiciel, Sécurité Windows avancée & AD, 200 heures consacrées à des projets d’innovation et le passage des certifications Microsoft Azure Fondamental, Microsoft Azure Administrator et Microsoft Azure Security Engineer. L’école étend parallèlement son offre Big Data & Machine Learning, via une dernière année du PGE 100 % online, avec Microsoft France et Onepoint. Un parcours théorique proposant des cours en Big Data Frameworks II, Data Engineering II, Data Management, Deep Learning et Applications of Big Data. Mais aussi certifiant et professionnalisant, avec la possibilité de passer les certifications Azure AI Fundamentals et AI Engineer, Azure Data Fundamentals, Azure Data Scientist Associate, Azure Data Engineer Associate et Azure Devops Engineer.
>>>> A lire aussi – « Les Efrei, on les repère de loin ! Cette école nous apprend à travailler et nous donne le goût de la technologie sous tous ses aspects grâce aux « spéciales ». Quand on recrute un Efrei, on sait qu’il va être vite opérationnel et pouvoir assumer des tâches concrètes. C’est une valeur sûre ! ». La preuve dans l’interview de François Raynaud (Efrei Paris 85), Directeur des Systèmes d’Information et du Numérique d’EDF Commerce.
>>>> A lire aussi – « N’attendez plus pour rejoindre l’entreprise la plus durable au monde ! » Dans son interview Gilles Vermot Desroches (Efrei Paris 88) Corporate Citizenship Senior Vice President de Schneider Electric et manager engagé dans la transition numérique de l’énergie, ouvre grand les portes du Groupe aux jeunes talents férus d’innovation.
L’EPITA en mode 360
L’EPITA (au titre du Groupe IONIS) est actionnaire fondateur du Campus Cyber qui ouvrira ses portes à la rentrée 2021 dans les 25 000 m² de l’immeuble Eria à La Défense. Un projet dans lequel elle installera son centre de formation professionnelle continue, SECURESPHERE by EPITA, ainsi qu’une partie de ses étudiants et de ses chercheurs. Elle lancera parallèlement son Bachelor Cybersécurité. Objectif N°1 de cette formation professionnalisante ? Insertion immédiate ! Un objectif que l’EPITA étend sur tout le territoire en renforçant également son ancrage régional via l’ouverture de son cycle ingénieur à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse. Et parce que le numérique ce n’est pas que pour les pros, l’école vient de lancer la web-série « En vrai », où 10 de ses experts décryptent, pour vous, toutes les dernières tendances digitales.
>>>> A lire aussi – Spécialisé dans l’accompagnement des projets de transformation des entreprises, le Groupe Alixio met sa capacité à innover et à digitaliser au service des collaborateurs de ses clients, pour la réussite de leur mobilité professionnelle, n’oubliant pas également de booster le parcours de ses propres collaborateurs. Découvrez l’interview de Denis Lapierre (Epita 92) son Chief Digital Officer.
>>>> A lire aussi – Envie de rejoindre Sipartech, un des opérateurs d’infrastructure télécoms majeurs en Europe ? Vous avez le profil pour rejoindre ses équipes si « vous savez vous adapter aux contraintes métiers et vous avez une réelle culture de la satisfaction client. Confiance, autonomie et communication sont au cœur du management des équipes. En 2021, plus de 70 postes sont ouverts : chefs de projets, ingénieurs réseaux … ». Retrouvez toutes les opportunités de Sipartech dans l’interview de Laurent Abiteboul, (EPITA, 94) Directeur des Systèmes d’Informations.
L’ICAM is out of the box
Outre son parcours intégré (en 5 ans) et son parcours en apprentissage, l’Icam propose une 3e voie pour former les ingénieurs 4.0 de demain : le Parcours Ouvert. International, cross-culturel, fondé sur des pédagogies innovantes et ouvert à de nouveaux profils d’étudiants, ses maîtres-mots sont : expérimentation, conceptualisation, interculturel et autonomie. Un écho parfait au profil carrière identifié par le classement Universum 2020 où le triptyque « Internationalist / Leader / Entrepreneur » vient définir le profil Icam. Un profil également marqué par l’humain, la famille et la solidarité. Des qualités que ses diplômés mettent à profit dans leurs secteurs chouchous : aérospatial et défense, industrie, automobile, énergie, génie mécanique et industriel, ou construction. Pour en savoir plus sur les métiers ouverts aux diplômés de cette école d’ingénieurs généraliste, découvrez la 2e saison de son podcast « Parcours d’ingénieurs ».
L’ISEP met le cap sur la formation continue
Parce que le numérique est une langue vivante, l’ISEP mise sur la formation continue avec ses deux Mastères Spécialisés. Le MS Architecture cyber-sécurité et intégration d’abord. Son but : former des experts en cyber-sécurité pour assurer la fiabilité et la sûreté du SI de l’entreprise (depuis son architecture jusqu’au déploiement de solutions : réseaux, applications, données, accès utilisateurs, gestion des terminaux…) et dotés de compétences managériales (gestion de projets et de crise, management d’équipes, communication). Le MS Management et protection des données, ensuite. Ses objectifs : développer une triple expertise juridique, technique et opérationnelle en matière de protection de données, indispensable aux futurs Data Protection Officers. Ses + : trois projets collectifs menés sur des sujets fondamentaux en protection des données à caractère personnel (droits d’accès, registre de traitements, analyse d’impact), un parcours personnalisé et des interventions d’experts (DPO en activité, experts juridiques, informatiques et de la CNIL).
>>>> A lire aussi – Pourquoi postuler chez SCC France ? « D’abord, pour l’entrepreneuriat, la liberté d’action et d’initiative laissée au collaborateur. Mais aussi pour le collectif, car chez SCC, on est toujours plus créatif et efficace à plusieurs. Evoluer dans ce collectif est vraiment agréable dans la façon de travailler. Nous ne sommes pas des opportunistes et nous nous engageons sur la durée. Rester professionnel est, enfin, extrêmement important : une règle et un savoir-être très bien respectés chez SCC ». Vous vous reconnaissez ? Découvrez les projets les plus challengeants de SCC dans l’interview de Michel Ferrand, Directeur Avant-Vente (ISEP 96).
L’INP-ENSEEITH, pour les pros du numérique, de l’énergie, de l’environnement et des transports du futur
Plus ancienne école d’ingénieurs de Toulouse, l’INP-ENSEEIHT a.k.a N7 est une grande école publique d’ingénieurs en 3 ans affiliée à l’Institut Mines Télécom et en convention avec l’Ecole Polytechnique. 400 ingés diplômés chaque année, une centaine de masters, autant de docteurs et 14 000 alumni en activités : elle forme des pros du numérique, mais aussi de l’énergie, de l’environnement et des transports du futur au top de l’employabilité. 66 % des étudiants signent leur contrat d’embauche pendant leur stage de fin d’études et 96 % sont en poste après 2 mois. L’école mise aussi sur l’entrepreneuriat via l’incubateur N-Start. Créé à l’initiative de l’école et de son association des anciens, on y développe l’esprit d’entrepreneuriat en accompagnant les projets de startups innovantes les plus prometteurs portés par des étudiants, jeunes diplômés et chercheurs de l’N7. Envie d’en savoir plus et de faire incuber votre projet ?
SUPINFO au top de l’expertise en informatique
Big Data, IA, Cloud infrastructure, Cloud Security et information système : les 5 grands domaines de spécialisation des futurs experts de l’informatique made in SUPINFO. Avec un réseau de plus de 700 entreprises partenaires en France, les 15 000 diplômés de SUPINFO trustent des postes de choix (Data Engineer, DataBase Manager, NLP Engineer, Cloud Security Engineer, Security Operations Engineer, Cloud Engineer, Chief Information Officer…) dans des entreprises de renom : acteurs d’Internet (Google, Twitter, Facebook, Veepee, Meetic…), constructeurs d’ordinateurs (IBM, Apple, HP, Dell…), éditeurs de logiciels (Microsoft, Oracle, SAP…) ou Entreprises de Services du Numérique (CapGemini, Accenture, Sopra, Avanade, Altran, Atos…). Et pour se former, depuis 2020, les étudiants ont le choix entre les cinq campus physiques de SUPINFO (Paris, Lille, Lyon, Tours et Caen) et un suivi agile, grâce au « Distance Learning » ou Learning on site and coaching, depuis l’un de ses 8 campus hybrides (Rennes, Marseille, Strasbourg, Nice, Mulhouse, Nantes, Bordeaux et Saint-André de la Réunion).
>>>> A lire aussi – Pourquoi les jeunes matchent-ils autant avec le secteur IT ? « Car ils n’ont pas peur d’avancer ni d’oser. Ils sont audacieux. Nous avons récemment recruté trois jeunes profils commerciaux dans mon équipe : ils n’hésitent pas à prendre leur téléphone et à essuyer des refus. Ils sont nés dans ce monde ultra connecté, donc ils en comprennent parfaitement les rouages ce qui leur permet de s’adapter très facilement aux transformations continues. Et cerise sur le gâteau : ils maîtrisent l’anglais et les réseaux sociaux ! » Dans son interview Maxime Voye (SUPINFO 2010), Architecte Solutions Cloud pour la division Enterprise Computing Solutions de Arrow Electronics en France vous dit pourquoi son entreprise est faite pour vous !
#PetiteNouvelle : Hexagone casse les codes du geek et valorisee les technos de la French Tech
Versailles et Clermont-Ferrand : deux campus pour la nouvelle école française d’ingénierie informatique. Grâce à des partenariats emblématiques avec des acteurs de la French Tech et du Made in France (Stormshield, Bispok, 3DS Outscale – filliale de Dassault Systèmes, Gymglish, Symfony…), Hexagone affirme sa différence… et entend casser les codes ! « Hexagone veut dépasser le stéréotype de l’informaticien geek, barbu, asocial, qui dévore des pizzas et boit des sodas. Ce faisant nous devrions attirer davantage de femmes vers les métiers de l’informatique » annonce son président Sébastien Dhérines. Une école qui mise aussi sur la qualité de vie de ses élèves : accès gratuit à un coach sportif, trois séances d’ostéo / an pour corriger sa posture face à un écran et entrainement à la prise de parole via 40 heures de cours de stand-up en 2A.